Le nom d’Édouard Philippe est associé aux « contrats de Cahors », par lequel l’État a imposé aux collectivités de participer à la réduction du déficit public sous peine de sanctions financières. Alors que le projet de loi de finances 2025 s’apprête à ponctionner les collectivités locales d’environ 6,5 milliards € (ou +), Philippe s’est opposé à ce « piège terrible avec comme impact, soit de diminuer l’investissement public local, soit d’augmenter l’endettement local ».
Lu A Libération 21/10/24