Écrivains, artistes et chercheurs solidaires du mouvement social
.../... Pour tenter d’imposer (leur réforme), M. Macron, Mme Borne et M. Dussopt ont abîmé le débat public et la crédibilité de l’exécutif en énonçant une quantité invraisemblable de contre-vérités :
Le déficit des retraites serait « insurmontable » (...)
« On a souhaité répondre aux exigences environnementales », raconte le responsable développement du bailleur social d’Angers. Alors pendant deux jours, particuliers, entreprises et associations étaient conviés à venir récupérer les matériaux qu’ils désiraient. "On ne laisse personne s’emparer de tout le lot. On favorise le partage et le circuit court. "
K Herviou : "C’est une fissure particulièrement profonde. Elle fait 23 millimètres sur une épaisseur de tuyauterie qui en fait 27. EDF s’était engagé à contrôler les tuyauteries considérées comme ’sensibles’". Pour autant, la tuyauterie de la centrale de Penly était considérée "comme ’non-sensible’ à la fissuration, donc elle n’était pas prioritaire dans le contrôle".
La mobilisation s’intensifie du côté du personnel et des marins de la Penn ar Bed, qui, mardi, fermera ses gares et gardera ses navires à quai.
Les îles de Sein, Molène et Ouessant ne recevront pas de bateau ce mardi 7 mars 2023, nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites.
un aveu de faiblesse ?
« Reprendre langue, recréer de la conversation avec les Français », dit l’entourage présidentiel. Bon courage, car les Français ne sont pas dupes. Ils savent décrypter les fadaises qui se cachent derrière ces éléments de langage. Ils savent quel cap se cache derrière la réforme des retraites. Il est double : à droite et désordonné. Ce qui ne peut pas marcher.
POUR CEUX QUI AIMENT LES STATISTIQUES EN MOYENNES !!
Une femme retraitée de plus de 65 ans touchait en 2019 en moyenne 981 euros de pension de droit direct. Pour les hommes, c’est 1600 euros. Soit 40 % d’écart entre femmes et hommes retraités. 40 % ! (...)
Le recensement des chemins ruraux doit se faire en deux temps. Première délibération : le Conseil municipal décide de procéder au recensement. Il faut ensuite mener une enquête publique ; puis, par une deuxième délibération, « arrêter le tableau définitif » recensant les chemins ruraux.
La loi 3DS rend obligatoire le constat d’une « désaffection de fait » avant toute possibilité d’aliénation d’un chemin rural.