Les locations saisonnières, dont le nombre est passé de 300 000 en 2016 à 1,2 million aujourd’hui, sont accusées de siphonner le parc locatif traditionnel et donc de contribuer à la pénurie de logements et à la flambée des prix de l’immobilier dans les zones les plus attractives.
Les meublés de tourisme classés et les chambres d’hôte ne bénéficieront plus que d’un taux d’abattement de 50 % (...)