Il y a vingt-cinq ans, les 500 premières fortunes françaises représentaient 5 % du PIB, 20 % à l’arrivée de Macron au pouvoir, et aujourd’hui, c’est au-delà des 40 %. Depuis sept ans, ils sont parvenus pas seulement à geler les salaires réels, mais à les faire reculer ! Le capital se gave, les travailleurs sont rationnés : forcément, les premiers veulent que ça continue comme ça.
F Ruffin Libération 27/08/24