Une soirée « récompense »
1 commentaireJ’ai argué de mon passage au bord du précipice (pas trop profond quand même :-) ) pour m’autoriser à réserver une table au Bao. L’anniversaire* de mon voisin de bureau a consolidé le prétexte.
Mais quelle andouille ! pourquoi se priver si souvent de ce plaisir ? La carte, dont on connaît l’originalité depuis l’ouverture de ce resto, a quelques tarifs accessibles. Commander du homard n’est pas une obligation ! Et s’il fut un temps où les morfales quittaient la table avec un léger creux, ce n’est plus le cas, les portions ont été revisitées.
La qualité des plats est reconnue des collègues exigeants de Maxime. Je ne digresserai pas longtemps sur les bigorneaux de l’apéro, cuits et refroidis dans un bouillon dont j’aimerais connaître la recette... S’il prenait la fantaisie au Bao de fournir des plats à emporter, je m’inscris de suite pour un kilo de ces bestioles ! Les palourdes de l’entrée se prélassaient dans une crème mousseuse et aérienne à souhait dont je renonce à essayer de trouver les composants. Quand à la lotte, servie dans un gaspacho accompagné de petits artichauts, ceux qui connaissent mon petit appétit devineront que c’est par pure gourmandise que j’en ai presque fini la totalité.
Lire l’impressionnante carte des vins donne une idée de la maîtrise de Patrick dans ses choix, idée confortée à la dégustation.
Avoir été servie par la bénévole qui m’envoyait "L’îlot" ces derniers jours créait un degré de complicité supplémentaire.
Quant à la fin de soirée sur la terrasse en compagnie du grand Pierrot... la cerise sur le gâteau :-)
Bravo à l’équipage du Bao et longue vie !
* d’autant plus que chacun d’entre eux (s’il en reste) sera maintenant une exception : nous avons dépassé la moyenne d’âge où nous aurions dû débarrasser le plancher !
Vos commentaires
# Le 23 août 2021 à 20:52, par Renée
De celle qui est pour la paix des ménages : c’est qui "l’andouille" ?
Rappelons néanmoins qu’il n’y a pas urgence à se précipiter
Avec une grosse bise en particulier au voisin de bureau
Renée