Boues

Le collectif se veut vigilant quant au devenir des 19.000 m³ de sédiments qu’il restera alors à draguer.
Viennent de rejoindre ce collectif la Fédération française d’études et de sports sous-marins, le Parti breton, Bretagne vivante... portant à 18 le nombre d’associations réunies.
Le Télégramme 21/01/2005

La DDASS, faute de données sur les impacts en matière de baignade, ne peut apprécier les effets sur la santé des populations exposées et réclame des analyses microbiologiques des sédiments. Prochaine réunion d’Océan Propre le 11/1, à 19 h, à l’APPPL
Le Télégramme 18/12/2006

Lettre au président de l’EPIC du port d’Arcachon.. Biscarosse, le 14 juin 2005
Monsieur le Maire d’Arcachon
Monsieur le Maire, A l’occasion de notre manifestation du samedi 30 avril 2005, nous vous avons fait part de notre totale opposition à tout rejet en mer, au large du Wharf de la Salie, des 300 000 m3 de boues polluées du port d’Arcachon : Nous vous réaffirmons qu’aucune discussion ne peut être engagée et qu’aucun consensus n’est donc envisageable tant que l’éventualité (…)

Signez la pétition en ligne à cette adresse :
– http://ile-de-groix.info/article.php3?id_article=3064#petition
Les dragages « d’entretien » nécessaires au lancement des frégates de la DCN concernent 30.000 tonnes de sédiments tous les 2 à 3 ans pendant 10 ans. L’élimination de ces boues polluées peut se faire par immersion, ou par traitement à terre, comme aux Pays-bas.
On nous impose l’immersion car le coût en est moindre à court terme, n’étant pas pris en compte les coûts écologiques (…)

L’irresponsabilité du gouvernement Raffarin va faire de la mer une zone sanitaire et économique empoisonnée.
Dramatique. Toutes les boues de la rade de Lorient doivent être mises à terre et traitées comme dans tous les pays du nord de l’Europe dont les Pays-Bas.
Ouest-France 14/01/2005

Le sous-préfet argumente du fait que le dragage est une nécessité, et que le traitement des boues est un autre problème qui peut se résoudre par le stockage à terre de tout ou partie des boues. Dans ce cas, la charge financière reviendrait à la DCN, selon M. Khil.
Ouest France 20 12 2004

De Groix à Ploemeur, en passant par toutes les associations écologiques, la vague d’inquiétudes est nourrie par les conséquences sur l’environnement et les répercussions sur l’homme, de l’immersion en pleine mer de ces « déblais » chargés en métaux lourds.
Le Télégramme 18/12/2004

Bouesdehors ! Ainsi s’est baptisé un collectif de Groisillons opposés à l’immersion des boues. Il propose une réunion ce mardi 8 février à 20 h au Kernével, local de l’APPRL
Ouest-France 08/02/2005

Le directeur ne veut pas qu’on diabolise le site de construction navale Qu’on ne parle pas de boues de dragage à Georges Thiéry, directeur de DCN. Il préfère le mot sédiments, quand on évoque le débat sur l’immersion des vases du Scorff de ces derniers jours. ?
Propos recueillis par Françoise ROSSI. Ouest-France 21/01/2005

Pour les pêcheurs artisans de Lorient, c’est également non à l’immersion des boues de dragage du port.
Ils l’ont écrit au directeur départemental des Affaires maritimes. Voilà encore un avis à porter au crédit de ceux qui demandent une alternative à l’immersion des boues de dragage. Le préfet du Morbihan, rappelons-le, doit rendre sa décision d’ici la fin du mois.
Ouest France 4 12 2004