Pour les plongeurs, il est certain que ces boues déversées à l’ouest de la côte reviennent sur le littoral grâce à l’action de la houle.
« Ce constat est alarmant car cette pollution visible uniquement par les plongeurs est très insidieuse et l’impact de celle-ci plus importante que la pollution du pétrole de l’Erika qui a scandalisé le public » poursuit Patrick Le Cossois.
Ouest France 22 11 2004
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Boues
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Le dragage des vases de l’arsenal inquiète le club subaquatique
22 novembre 2004, par Admin - 1 commentaire -
Le grand dragage des ports
14 octobre 2005, par Admin« Le collectif contre l’immersion des boues », relève d’ores et déjà deux points de débat. « Aucun résultat d’analyse sur la toxicité des boues ne nous a été fourni et aucune information sur les lieux de stockage et de traitement » relève l’un des participants.
Jean-Laurent BRAS. Ouest-France 14/10/2005 -
"clapage de boues" - ALERTE AUX DRAGUEURS
12 février 2006, par Admin - 1 commentaireLoisirs Nautiques
N° 410 - Février 2006
un article d’Alex de Roquefeuil :
Pour aller plus loin dans l’engagement environnemental, des milliers de personnes se mobilisent au sein d’associations sur la côte atlantique pour lutter contre les pratiques de dragage des ports (...) -
Faire confiance à DCN ??
3 février 2005, par Admin - 1 commentaireDCN Brest demande à une entreprise d’effectuer d’urgence des travaux et accepte oralement le devis qui lui est proposé. L’entrepreneur fait les travaux. DCN ne paie pas. L’entrepreneur saisit le tribunal administratif (en Mai 2001). JUGEMENT : le code des marchés publics dit que le marché aurait dû être conclu préalablement (sous-entendu par écrit). L’entrepreneur n’a plus que ses yeux pour pleurer, il perd 80 000 euros. (cf Le Télégramme du jour)
Vous avez dit "parole de militaire ou (…) -
Boues du Scorff : le problème de tout le pays de Lorient
14 mars 2005, par AdminLe collectif demande d’appliquer le principe de précaution en cohérence avec la charte d’environnement du pays de Lorient : « Il s’agit d’une pollution sournoise, moins visible que le pétrole de l’Erika, dont on ne maîtrise pas les conséquences à long terme sur la chaîne alimentaire ».
Le Télégramme 14/03/2005