Boues

« Oui, le problème des boues de la DCN concerne tous les citoyens du pays de Lorient, à plus d’un titre d’ailleurs, et ceux-ci doivent interpeller les élus qui, en leur nom, ont signé la charte du développement durable.
Le Télégramme 14/12/2004

« Par ce courrier, nous nous faisons l’interprète de nos plaisanciers, pêcheurs-plaisanciers, voire de touristes, qui se montrent toujours très inquiets de l’immersion des boues de dragage du Scorff et, dans le futur, celles du Ter (ex-base des sous-marins de Keroman) et de leur toxicité »,
Le Télégramme 23/12/2004

Les élus Verts interviennent en conseil municipal sur l’enquête publique pour l’amélioration de l’accueil du Port de commerce

Les Verts précisent leur position sur les enjeux de l’agrandissement du quai.

Chers collègues
La Chambre de Commerce et d’Industrie du Morbihan a déjà réalisé des travaux sur le port, notamment pour la mise en conformité et la sécurité des installations. Un nouveau silo à plat de 40 000 tonnes pour lequel les élus Verts de Lorient s’étaient opposés va être réalisé portant la capacité de stockage à 200 000 tonnes (...)

Les cinq représentants du Comité ont été reçus à la Préfecture par : Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Secrétaire Général de la Sous Préfecture Un représentant de la DDE maritime Un représentant d’IFREMER Un délégué à l’environnement de la Préfecture. Il a été annoncé aux délégués du Collectif que madame la Préfète a pris un arrêté imposant le dépôt à terre et le traitement suivant les normes en vigueur des 6 000 premiers m3 de sédiments de DCN. Il leur a été confirmé que d’autres (…)

Cette fois, un collectif contre l’immersion des boues toxiques et pour leur traitement à terre est en cours de création.
Une réunion publique est organisée ce soir à 20 h, au siège de l’APPRL à Larmor-Plage.
Le Télégramme 21/12/2004

Le traitement des déchets de l’Érika reprendra fin avril, début mai, à Donges. Depuis juillet, le système ne fonctionnait que par intermittence. TotalFinaElf et Brézillon calaient sur des boues chargées d’hydrocarbures. Avec les modifications apportées, ils espèrent mettre un point final à l’opération fin 2003.
– Ouest-France du 15 mars 2002

Dragage du bassin du Commerce de Cherbourg
Thomas Ozon, en charge du dossier auprès de la Direction départementale de l’Équipement explique que « ces sédiments sont marqués avec entre autre des teneurs en plomb, zinc et autres contaminants. Nous ne pouvions les clapper
en mer »..../...
La solution adoptée a fait l’objet de trois arrêtés préfectoraux distincts.
« Cette solution consiste donc à déverser les boues issues du dragage dans deux caissons rendus étanches par une géomembrure, (…)

Le collectif poursuit son action pour l’annulation de l’arrêté préfectoral du 28 février, la remise en état du site, le retrait des arrêtés de juillet 2003 du maire créant un centre d’enfouissement de classe 3 et le classement au PLU (Plan Local d’Urbanisme) en zone naturelle.
Le Télégramme 02/04/2005

Depuis 1997, quelque 380 000 m3 de boues issues du dragage ont été déversées entre Groix et le continent. Les opposants à de futures immersions appuient leur argumentation sur deux volets : leur toxicité sur la chaîne alimentaire et la couverture des fonds marins empêchant la photosynthèse.
Ouest-France 24/03/2005

Aujourd’hui, on nous avance l’hypothèse d’une immersion des boues de dragage au large de Pen Men, un paradoxe pour notre commune qui s’est investie dans la politique intercommunale de développement durable.
Le Télégramme 17/01/2005