.../...Les Outre-mer encore une fois étaient présents à cette 23 édition puisqu’était invité le comité Solidarité Kanaky Lorient pour parler de la situation en Nouvelle-Calédonie. Et les deux documentaires mis en regard lors de la projection étaient aussi ultramarins : d’un côté, Terla Ta Nou, un film réalisé par Cécile Laveissière et Jean-Marie Pernelle qui raconte l’histoire du dernier rond-point tenu par les Gilets jaunes au Tampon à La Réunion ; de l’autre, 44 jours de Martine Delumeau, en référence aux 44 jours de grève générale qu’a vécu la Guadeloupe en 2009.../...
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Le Festival international du film insulaire de Groix a récompensé cinq œuvres cinématographiques. Le jury de la compétition longs-métrages était composé, cette année, de la productrice luso-française Sophie Barbara, de la journaliste Ana Quéré, de l’ingénieur du son Nikolas Javelle et de la réalisatrice Céline Rouzet. Ce sont les îles de nos cousins québécois qui seront mises à l’honneur en 2025. Quentin SAISON. Ouest-France 24/08/24 Prix L’Île d’or : « 44 jours » de Martine Delumeau, Prix du public : « Mo’Zar, mon style » de Sébastien Petretti Prix Lucien Kimitété : Mo’Zar, mon style » de Sébastien Petretti. Prix du jury jeune : meilleur court-métrage documentaire « We have to survive : Fukushima ! », de Tomáš Krupa Mentions spéciales de Kub : « Été 96 » de Mathilde Bédouet ; « Domus de janas », de Myriam Raccah. Théophile Brient a filmé l’horizon, de la mer, l’horizon de la terre qui rappelle à l’îlien son isolement. Cela créé, pour Alessandra Celesia un « sentiment d’identité très fort ». Certaines personnes rencontrées lui ont confié le désir irrésistible de partir. Et l’impossibilité de le réaliser. « Le territoire garde, retient. Et fait qu’on est quelqu’un. Ailleurs, c’est l’inconnu, et on devient inconnu ». I. Demangeat Le Télégramme 23/08/24 Jusqu’au 24 août, le Festival du film insulaire de Groix met les îles portugaises à l’honneur. Un choix qui permet d’en apprendre plus sur cette cinématographie méconnue, longtemps entravée par la dictature de Salazar. En plus d’une rétrospective des cinéastes Amaya Sumpsi et Gonçalo Tocha, d’autres artistes sont également mis à l’honneur dans la Halle des expositions de Port-Lay Joanna BLAIN Télérama 23/08/24 Il pleut. Les salles de ciné sont bondées. Les malchanceux restés à la porte vont avoir le temps de faire le tour des expos. Et il y a de quoi faire (voir l’agenda d’Henri, détail chaque jour EXPOSITIONS - EXPOSITIONS. https://ile-de-groix.info/blog/spip.php?page=agenda&date=2024-8-24 Une nouveauté : pas d’expo à l’abri du canot ni au lieu ad hoc sur le port (sans doute réservé aux assos "fortunées"). Cela donne le plaisir d’aller jeter un oeil sur les murs du Mojo et de l’Auberge du Pêcheur. Ne pas oublier le Musée, la Médiathèque etc. etc. Pour finir dans le lieu consacré dans la cour de Port Lay où il faudra prendre tout son temps pour admirer le travail d’Agathe Marin. Un… Chère Anita de Groix, Il est juste de leur apprendre que le FIFIG a été créé de concert avec des Groisillons et des Ouessantins... De plus, il suffit de lire les documents de la création du Fifig, pour y retrouver les fondateurs ! j’y étais ex qualité en tant que présidente du salon du livre insulaire de Ouessant, mais aussi Dominique Yvon, Jacques Bayle, Jacques-Yves Le Thouze et d’autres. Avec le soutien amical de Raymond Lachat, DRac. et d’en préciser le pourquoi ! Dominique Yvon, oui, revenant du salon d’Ouessant , avait émis l’idée que le salon du livre soit itinérant dans les îles bretonnes tellement il y avait-là un enthousiasme breton pour la culture îlienne d’ici et d’ailleurs.… Une armée de bénévoles finalisaient dans la journée les derniers préparatifs, dans la douceur et le calme. Un peu comme une famille avant une fête de retrouvailles. I. Demangeat Le Télégramme 21/08/24 Joli titre, tout comme celui de l’Obs : "L’âme insulaire au coeur du festival" L’âme insulaire au coeur du festival Madère et l’archipel des Açores sont à l’honneur de la 23ᵉ édition du film insulaire (Fifig), qui commence aujourd’hui sur l’île du Morbihan, jusqu’au 25 août. Entretien avec Laodice Kolk, directrice artistique, et Nicolas Le Gac, responsable de la compétition longs-métrages. TéléObs. Le Fifig existe depuis 2011. Comment ce festival du film insulaire a-t-il vu le jour ? Laodice Kolk. Le Fifig est né sous l’impulsion du reporter de Radio France, Jean-Luc Blain (décédé en 2013) et dans la tête d’une poignée de passionnés de cinéma qui revenaient du festival du livre insulaire d’Ouessant. Le festival s’est monté « à l’arrache » avec l’énorme… Comme chaque année, dans l’agenda d’Henri Exemple Jeudi 22/8 :
Les films (au Cinéma, à Port-Lay, à la Salle des fêtes) et ainsi en totalité, chaque jour
Palmarès de la 23e édition
FIFIG : Les prix 2024
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et meilleur court-métrage de fiction : Gaby les collines, de Zoé Pelchat.
Un territoire sauvage à filmer
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Du dépliant touristique à la réalité
Beau temps festivalier
Précisions ouessantines
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La famille Fifig fin prête pour les festivaliers
Les bénévoles au Fifig, c’est un peu la cheville ouvrière, la colonne vertébrale, la moelle même au sein de cette colonne vertébrale. Ils sont 200 chaque année à rendre possible la tenue du festival. 200 à accueillir 200 artistes et près de 12 000 festivaliers. Car si le Fifig attire les familles, chez les bénévoles, il en crée une, apparemment, de grande famille.
Erreurs : de la journaliste ou des interwievés ?
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FIFIG : Programmes détaillés et classés
https://ile-de-groix.info/blog/spip.php?page=agenda&date=2024-8-22
Les concerts (au Tiki -Jabadao)
Les spectacles
les Ateliers
Divers (Radio, Librairie, Expos)