Bonjour à tous voilà . Nous sommes bien arrivés en Savoie. La famille heureuse et épuisée, chacun retrouve ses marques. Comment vous remercier pour cet accueil et ces rencontres étonnantes au stand Vernet. (...)
Les adhérents présents au kiosque pendant le festival sont très heureux de constater que l’initiative de l’association a été appréciée par les festivaliers. 82 volumes représentant les titres sélectionnés (dont 36 Récifs) ont été vendus à cette occasion. (...)
Avant la fin des derniers rangements et départs de matériels (18 passages de camions), l’équipe du Fifig se réunit pour faire quelques commentaires à chaud. Sans surprise, le président redit sa satisfaction d’avoir vu la fréquentation optimale des salles et des concerts (pour ceux-ci, principalement le mercredi et le samedi) Il souligne la difficulté qu’il y a eu à prévoir les engagements financiers avec des subventions et sponsoring en baisse l’année dernière. (...)
émouvante : des enfants attentionnés ont offert à leurs parents qui fêtaient leurs noces d’or un séjour d’une semaine à Groix pendant le Festival.
Ils ont pensé que c’était un cadeau des plus appropriés pour des cinéphiles qui avaient créé le Ciné-Club de leur commune dans leur jeunesse. Les parents ont été enchantés et par l’Île et par le Fifig.
dé(t)onnante : Le tatoué musicophile s’est fait son cinéma tout seul. Chargé du transport des musiciens, il s’est imaginé sur le continent dans la même situation : deux tatoués à l’avant d’un 4/4 BMW, à l’arrière trois blacks ; contrôles tous les 500 mètres garantis :-))
Tout d’abord, devant l’aggravation des inégalités sociales nationales et internationales, les représentants du C.U.L. (dont il faut rappeler que tout membre du Fifig est adhérent puisque l’adhésion y est LIBRE ET OBLIGATOIRE...) ont décidé de modifier le nom de leur syndicat et de l’appeler dorénavant le CRI Universel de la Liberté, car, comme le dit si bien le Gaulois son porte-parole, il est de plus en plus nécessaire de crier.
Ils ont aussi attribué des prix car ils pensent que ce n’est pas juste que seuls des réalisateurs de films soient primés. (...)
Tout paraÎt endormi mais sporadiquement "les bas" s’animent lorsqu’Ã la sortie des salles, les cinéphiles, entre deux projections, devisent pour échanger leurs impressions. (...)
au Cinéma des familles : A 14 h 30, Îles du Ponant, « Les deux derniers patrons de dundee groisillons », de Gilbert Nexer (26 mn) ; à 15 h 45, « Plage des dames », de Thierry Compain ; à 17 h, « Duel en haute mer » de Jean Groc
A Port-Lay : matinée Sri Lanka : à 11 h, « The land of silence », de Vimukthi Jayasundara à 11 h 30, « Young Monk », de Damayanthi Fonseka à 12 h, « Flooted banks », de Damayanthi Fonseka
Coups de coeur : à 16 h, « 22, Hospital street », de Christophe Kühn et à 18 h, « Serbis », de Brillante Mendoza
Serait-ce les effets de la pseudo-crise ? La couverture médiatique me paraÎt plus restreinte que les années précédentes. A commencer par Ouest-France qui a divisé par trois le nombre de ses articles par rapport à 2008. Si on y ajoute le fait que leur site de nouvelles locales est inaccessible
pour les articles d’hier, on pense à des compressions de personnel. Les journaux nationaux sont également assez discrets. La crise qu’ils disent ! ... mais pas pour aller couvrir les vacances de l’hyperactif au Cap Nègre :-((
Visages souriants sur tout le site, avec les yeux à peine interrogatifs quand ils scrutent le ciel. Certain ! la pluie ne viendra qu’après la fin de la prestation de la Zique à Bilo ! Quelques traits tirés chez les drogués du cinéma, dans les salles de 9h30 jusqu’Ã minuit bien tassés. La fatigue se voit surtout chez le responsable des bénévoles qui cumule obligations professionnelles en journée et vigilance requise le soir par sa fonction au sein du festival. (...)
Les adhérents du G. L. A. N. D., en opposition au syndicat officiel du Festival : le C. U. L., sont ulcérés d’avoir été censurés par la rédaction de l’Ilot, toute acquise aux desiderata de l’équipe dirigeante du Festival. Ils tiennent à faire savoir que, s’ils ne sont pas surpris que l’opposition, là comme ailleurs, n’aie pas le droit de s’exprimer dans la presse à la botte du pouvoir, ils continueront à se battre pour la défense des petits bénévoles et sans avoir besoin de la complicité de la présidence. (...)
Si le kiosque du Festival offre aux amateurs les livres repérés par l’association de lecteurs groisillons, la librairie l’Ecume des Jours propose un choix élargi de livres aux personnes ne pouvant (ou ne voulant) se déplacer jusqu’Ã Port-Lay. (...)
Cinéma des familles 9h30 Le salaire du poète de Eric Wittershei. 10h30 My daughter the terrorist de Beate Arnestad. 11h45 Zétwal de Gilles Elie Dit Cosaques. 14h30 Le pays à l’envers de Sylvaine Dampierre . 16h30 Main basse sur l’Île d’Yeu de Patrice Gérard.
soirée Sri Lanka Documentaires 18h00 No More Tears Sister de Hélène Klodawsky. Entrée Libre
Fictions 20h30 Changement au village de Lester James Peries. 23h00 This is my moon de Asoka Handagama.
Guéna, le "grand manitou" était ce jeudi fort satisfait de l’affluence de la veille. Mon très bavard petit doigt m’a dit que si les (trop) nombreux spectateurs de "Main Basse sur l’Ile d’Yeu" ont été secoués par le film de
Patrice Gérard, celui-ci a su les rasséréner en les faisant rire aux larmes
rien qu’en leur racontant son prochain court-métrage. (...)
Discours d’usage (mais pas trop... car absence du président de Région et de la Conseillère générale, non représentés). Puis les CINQ Renavis et leur bonne humeur ont lancé les festivités. Ceux qui on pu apercevoir Ronan Tablantec et s’extraire du brouhaha ambiant ont apprécié le numéro de "cirque cynique et maritime". Après quoi, sur le port, une foule compacte de spectateurs a profité des projections et du Concert Bollywoodien. Les musiciens quant à eux ont fait connaissance avec l’humidité du port succédant à une chaude journée. Cela n’a pas entamé leur plaisir de participer à la fête.