Guéna, le "grand manitou" était ce jeudi fort satisfait de l’affluence de la veille.
Mon très bavard petit doigt m’a dit que si les (trop) nombreux spectateurs de "Main Basse sur l’Ile d’Yeu" ont été secoués par le film de
Patrice Gérard, celui-ci a su les rasséréner en les faisant rire aux larmes
rien qu’en leur racontant son prochain court-métrage.
Du côté des animations parallèles, même satisfaction pour Ilona Stefani et son expo de dessins de T. Vernet qui a attiré moult connaisseurs.
Yannick Joubert, secrétaire-adjoint "d’un Livre, une île" faisait également part d’un intérêt évident des festivaliers pour les livres sélectionnés pour le Prix du caillou.

La présence remarquée de vélos en nombre prouvait, s’il en était encore besoin, que le maire a bien raison de souligner le respect de l’environnement porté par les cinéphiles. Leurs loueurs ne peuvent donc faire partie de ceux des commerçants râleurs qui oublient de pointer les nombreux piliers du Fifig dans leurs bars et restaurants.

Après le coup de collier donné la veille au soir (900 repas servis), les marmitons donnaient l’impression de travailler en roue libre ce jeudi. Les dîneurs avisés se sont régalés avec du calamar tendre comme du marshmallow.
Seul le petit vent frisquet et la température "printanière" ont eu raison en soirée des plus frileux des noctambules. Les courageux ont été récompensés (et réchauffés) par les rythmes entraînants de Mémé Landin.