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Les élections, le cousin Lulu et le site ile-de-groix.info

dimanche 9 mars 2008, par Admin

Chère Anita

Mes multiples occupations ne m’ont pas permis de suivre en direct les campagnes électorales insulaires.
Heureusement, il y avait le site Ile-de-groix.info.
Quelle chance ! Quel bonheur ! Quel délice ! Tout le monde prend-t-il conscience de cet atout majeur dont nous, citoyens, et non vrais ou faux groisillons, greffés de hier et de demain, morceaux rapportés (parfois quand j’entends certaines réflexions, j’ai envie de crier, de hurler, votre groisillonnitude, je n’en ai rien à foutre), disposons pour comprendre, réfléchir, oser un jugement, en débattre.

Il y a plus de quarante ans que je suis un fidéle lecteur du Canard enchaîné avec la devise de qui je me fais les meilleurs délices : la liberté de la presse ne s’’use que quand on s’en sert pas.
Tu m’as dit que tu souhaitais arrêter cette aventure extraordinaire après les élections.

Chère Anita, sais-tu dans quel désarroi tu vas plonger des dizaines, des milliers, des dizaines de milliers d’internautes qui venaient respirer un peu d’air iodé de liberté en consultant le site ? Je sais le travail que cela doit demander. Je comprends le poids de la tâche que cela représente. Mais il ne faut pas que Ile-de-groix.info disparaisse. Nous allons encore avoir besoin demain, encore plud qu’hier et aujourd’hui, et peu importe le résultat des élections, d’espaces de liberté, d’échange et de discussion.

Quand on entend ce qu’on entend dans l’île aujourd’hui sur l’identité, les âneries nationalitaires à la Hortefeux rapportées au contexte local, on a intérêt à penser ce que l’on pense, enfin ce que je pense et ce que tu dois aussi penser : le droit au sol est la pire des imbécillités. Les racines n’ont d’intérêt que dans la mesure où la branche qu’elles nourrissent te permette d’aller voir, comparer, comprendre, le plus loin possible de l’arbre mère. Comme disent les Africains, elles servent à donner un sens à la route que l’on prend et à regarder en arrière le chemin parcouru. Et tant pis, si elles te forcent, un beau jour, à prendre un chemin de traverse.

Ne me laisse pas tomber. Ne nous laisse pas tomber. Voyons ensemble ce qu’il est possible de faire pour que continue à vivre Ile-de-groix.info dont le sillon est déjà si fécond qu’ont germé des espoirs indestructibles.

Je crois que c’est Ritsos qui a écrit que ce que l’on fait avec le coeur ne peut être mal fait.
Continue à le faire ainsi.

Avec mes amitiés les plus profondes et sincères,

Lucien Gourong

Commentaires

  • Cher lulu,tu as entierement raison sur tout.Il ne faut pas que ce site disparaisse car il sera peut etre le seul moyen d’empecher et de controler l’action de la nouvelle municipalite et de contredire les mensonges qu’ils sont déja en train de colporter.
    Jacky Morel Crehal

    • Bonjour Anita

      Je ne prends pas souvent la plume sur le site, mais en suis un fervent lecteur. Aujourd’hui, la fermeture de "ile-de-groix.info" me semble naturellement impossible. Malgré nos divergences politique, je souhaite t’apporter toute l’aide possible, pour que perdure, dans l’esprit actuel, cette réussite incontestable. Je suis sur qu’il existe une solution : n’hésites pas à prendre contact avec moi, si tu le souhaite.
      A très bientôt
      Laurent

  • Chapeau pour le travail accompli. Je trouve juste domage que l’équitabilité des publications entre les 4listes pour ces élections n’est pas été très juste.

    Nous sommes quelques-uns à vouloir créer une asso qui lancerait un journal de l’île.
    Ce Journal Ouvert à Tou(te)s pourrait être publié sur papier recyclé, et sur le net sous forme video (web tv), et donc sur un site avec publication libre, forum etc...

    Les gens intéressés peuvent nous contacter sur groizidemocratie@no-log.org

    keru

  • 17 500 visites en 24 h (IP unique) depuis 16 heures hier.
    Visiblement, Lulu, tu n’es pas le seul à qui ce site est utile :-)
    AM

    • moi j’aimerai que cousin lulu me fournisse le document qui lui a permis d’utiliser les photos de mon grand père dans son ouvrage petites et grandes histoires de l’île . Parceque les descendants qui sont propriétaires des droits d’auteurs de Pierre Blanchard qui court sur 70 ans après la date de sa mort conformément à la législation sur la propriété intellectuelle ne sont pas du tout satisfaient de ce genre d’extravagance .

      Donc cousin lulu de petit romu ce n’est pas d’un bon site que tu auras besoin si tu ne nous produit le document qu’on te réclame .

      Donc avis auxs amateurs pour ceux ou celles qui seraient désireuxs ou désireuses d’utiliser ces documents sans notre autorisation préalable pour quels que motifs que ce soit .

      La législation concernant les droits d’auteurs concernant les photos, films , sculptures, ouvrages est consultable sur le site de l’ADGAP qui est l’organisme chargé de contrôler le bon respect de la législation sur la propriété intellectuel, pour ceux qui ignoreraient encore la manière dont cela s’applique .

      LE PABIC ROMUALD

    • Pour les réglements de compte personnels, s’adresser directement à l’intéressé qui a une adresse personnelle dans les Pages Jaunes et un site internet avec une rubrique contact.
      si ça ne marche pas, essayer avec theblog.com !!
      AM

    • et qu’on on appelle au numéro de l’intéressé voilà la réponse " vous devriez être flatté... "

      je peu te dire que si j’ai l’occasion de rencontrer la personne de visu ou par quelques autres moyens que ce soit je ne vais surtout pas rater l’occasion de m’expliquer de vive voie en public ou à huis clos c l’occasion qui fera le larron .

      ca n’est pas un règlement compte personnel si tu lis bien les quelques dernières lignes de mon précédent message, c aussi un avertissement pour le collectif qui serait désireux d’utiliser des documents dont on détient pas les droits .

      C juste valable pour tout le monde . J’en ai marre de voir des documents dont on détient les droits servir notre élite bien pensante .

      Et c peu être ca qui vous dérange dans notre groisillonitude dont vous n’avez rien à foutre, c qu’on est pas prêt à livrer notre histoire ni à se laisser emmerder par cette même élite bien pensante importée ou exportée parcequ’à groix les deuxs existent, là aussi cela s’adresse à tous ceux qui se sentiront concernés, ce n’est pas nominatif . Là est tout le problême si certains plutôt que de nous contempler du haut de leur piédestal avaient eu un minimum de respect et cultivé leur côté humble on n’en serait peut être pas là aujourd’huis .

      Et sur theblog.com, je n’y suis pas allé depuis très longtemps car je n’ai jamais eu le grand honneur de contempler la prose de notre chèr conteur, ne vous déplaise dame anita avec tous le respect que je vous doit .

      LE PABIC ROMUALD

    • Bonjour madame,

      je ne sais si ce message figurera sur votre forum. Ce n’est pas très important puisque vous en êtes destinataire principale.
      Comme vous êtes la propriétaire de ce site, je lis avec attention vos interventions : elles sont parfois intéressantes. Enthousiaste, vous l’êtes systématiquement. Comme je connais maintenant l’habitude que certains ont ici de pratiquer l’argument d’autorité - user et abuser des richesses du dictionnaire- je ne salue pas "le délire sacré" mais bien "le dynamisme" avec lequel vous travaillez pour faire vivre virtuellement la vie quotidienne sur l’île. Ce site est exhaustif, bien paginé : continuez de le tenir contre vents et marées.
      Si mes origines familiales et culturelles sont bel et bien groisillonnes, je me suis résigné depuis longtemps, à accepter raisonnablement l’article de loi sur les transports maritimes qui acte la primauté du droit du sol. Voilà qui, je l’espère, lèvera toute ambiguïté sur le motif de mon intervention. Je mets aujourd’hui pleinement la main au porte-monnaie (tant que mon pouvoir d’achat le permettra) pour visiter ma famille sur Groix : il finance bien quelque chose.

      Les passions sont exacerbées en ce moment- cela est compréhensible- du coup, ne serait-il pas judicieux de faire redescendre sur votre page de garde (est-ce la terminologie ?) certains articles relatifs à la vie municipale qui sont malheureusement pénibles à lire. Pénibles, car on y donne une bien triste image de l’insularité : quolibets, insultes, sophismes pour les plus malins... je me résous ici à ne plus les lire. Je préférerais qu’un espace soit consacré aux histoires des peupés et meumés qui m’ont aidé à grandir : la nostalgie fait du bien. J’apprécie le travail de Lucien Gourong, je consulterai plutôt son site à présent. Tout travail mérite salaire : je possède l’un de ses ouvrages.

      Dans une utopie, Il faudrait accepter les personnalités dans leur intégralité : vous êtes "entière" et cela donne du sel à ce site. Toutefois, je m’étonne de "l’intégrisme grammatical" dont vous faites parfois preuve : c’est la réalité.

      La dictée fut longtemps considérée comme un exercice élitiste. A ce titre, le roman de Georges Orwell La Ferme des animaux illustre bien les dérives totalitaires liées à l’exclusivité du savoir... ce sont les cochons lettrés qui dominent la populace ignare... conduisant tout le monde à la catastrophe à cause de leur goût du pouvoir sous toutes ses formes. Je ne comprends jamais les épigrammes satiriques de foudbassan par exemple, la paraphrase du Petit et Grand Robert etc. suis-je le seul ici à ne pas décoder les lignes directrices de ces interventions sibyllines ?
      Des lecteurs peuvent ici se sentir légitimement agressés devant votre rhétorique mordante. Tenez-en compte peut-être. Je suis convaincu qu’il s’agit souvent d’une posture essentiellement défensive. Je ne comprends toujours pas comment vous réussissez à vivre les uns avec les autres compte tenu des coups envoyés sur le net. L’insularité ne doit pas être toujours simple à gérer.

      Bravo tout de même, pour vos références à l’écrivain Gide...l’homme, lui, s’est beaucoup trompé.

      Cordialement,

      F.B.

    • Cher Monsieur ORWELL,

      Demandez-moi au Conseil Constitutionnel, Paris, j’arrangerai votre affaire de dictée et de copyright en même temps.

      Courtoisement,

      CHIRAC Jacques, non candidat à 1 voix, profite de son appel au vote pour liste entière Chirac pour vous répondre.

    • Je ne comprends jamais les épigrammes satiriques de foudbassan par exemple, la paraphrase du Petit et Grand Robert etc. suis-je le seul ici à ne pas décoder les lignes directrices de ces interventions sibyllines ?...

      Un mot tombe à la mer, que faites vous ? vous lui portez secours, mais comment.. vous lui jetez un dictionnaire ?, les mots ont aussi besoin des autres pour s’en sortir et avec d’autre vous lui faite une boué...

      Si l’océan est de mots, avec le dictionnaire vous serez comme un poisson dans l’eau, sinon ce dico devient une gueuse.
      Dans diverses conversations, j’aime particulièrement cette formule, quant en fin de démonstration, il ou elle dit : Est ce que tu vois ce que je veux dire ...

      Bref :

      Je fonctionne en mot image

      Par mon propre apprentissage

      Même si ma coquille est de noix

      Elle me suffit en porte voix...

      J’ai aussi eu des suées sur les dictées, la main gauche sur le buvard en tentative de maitrise de la traitresse plume, quand celle-ci larguait sa goute sur l’application, la goutte qui fait déborder le vase et encore le souvenir de la gifle qui suivit :"et un pâté par dessus le marché".

      Je "n’élite" pas, je m’aventure en mera incognita...

      Quel rapport avec ici, les élections le père Lulu , Romu et touti... juste une lecture de l’instant et une façon de décrire autrement.

      Foudebassan

      à suivre ...

    • Réponse de cousin Lulu à Romuald Le Pabic

      Je n’ai pas l’habitude de régler des problèmes d’ordre personnel en utilisant médias et autres supports publics de diffusion, mais comme j’ai été mis en cause sur ce site, à travers un article de soutien à ce dernier, soutien que je ne renouvelle avec encore plus de conviction, je réponds donc par ce canal de Groix-infos à Monsieur Romuald Le Pabic.
      En préalable, je dois dire que je ne connais pas personnellement ce monsieur. Je n’ai donc aucune animosité contre lui. Ce ne semble pas le cas à mon égard vu la véhémence des propos qu’il tient à propos d’un sujet qui n’ a rien à voir avec le thème de ma contribution de soutien : à savoir des photographies de son grand-père, Pierre Blanchard, que j’ai utilisées pour illustrer mon ouvrage Grand et Petites Histoires de l’île .
      Je voudrais dire à ce monsieur que je m’interroge avec plus grand sérieux sur les motivations de sa harangue fielleuse, pleine de menaces à peine voilées, quand il dit que « s’il venait à me rencontrer, en public ou à huis clos » ( voudrait-il en l’absence de tout témoin m’injurier ou m’asséner des coups ?), il m’expliquerait de vive « voie » ( sic). Comme il ne précise pas ce qu’il m’expliquerait, je sais par contre ce que moi je lui dirais, et d’une voix claire, haute et publique ( si telle était l’occurrence) :
      - votre grand-père, que j’ai bien connu, homme tout à fait respectable, et respecté, m’a vendu ces photos ( ou du moins devrais-je plutôt dire que je les lui ai achetées), comme il le fit à beaucoup de gens au temps où il tenait boutique. Non seulement on pouvait en ce lieu les acheter, mais je crois même que ma grand-mère Mariange, qui tenait le bureau de tabacs en Bourg, en avait un dépôt et en vendait à son profit.
      - au moment où je les ai achetées, il y a plus de 35 ans de cela, j’avais demandé à Pierre Blanchard s’il m’autorisait à les mettre en diapositives et à les projeter dans un montage consacré à Groix et programmé en 1975 à l’église de la Trinité. Il y était d’ailleurs venu. Il avait accepté sans que lui soit venue à l’esprit à cette époque l’idée qu’il pouvait en tirer un bénéfice financier. C’est souvent le cas d’artistes dont le patrimoine se transforme, après leur mort, en prébendes dont les héritiers aiment à en faire profit, au prix même parfois de s’écharper.
      - cet accord moral n’a jamais été consigné dans un quelconque document du genre de celui que me réclament les héritiers et petits héritiers Blanchard, qui annoncent qu’ils auront aujourd’hui des attitudes comminatoires envers tous les éventuels utilisateurs des photographies de leur ancêtre dont les droits relèvent toujours du domaine privé. Ces ayant droits ont-ils des documents, du genre de celui qu’ils me réclament, signés d’autres tiers qui auraient eux aussi utilisé des clichés de leur parent ?
       aucune des photographies de Pierre Blanchard que je possède ne porte la mention « Reproduction interdite. Photo Blanchard ». Je les tiens de visu et en présence de témoins à leur disposition. S’il n’a pas été utilisé par exemple de photos de Crolard pour ce livre, c’est parce que celles que j’ai aussi achetées, à la même époque que celles de Blanchard, chez ce photographe installé Cours de Chazelles portent toute la mention précitée : Photo Crolard. Reproduction interdite sauf autorisation.
      - l’éditeur exécutif mon ouvrage consacré à Groix, « Caractères & Images » à Quimper, a puisé dans ma photothèque personnelle en utilisant les illustrations qui étaient libres de droits ou en réglant les droits quand étaient signalées les origines. Ce fut le cas pour le photographe Vilain. C’est moi qui ai demandé à l’éditeur de mentionner le nom de Blanchard pour 12 clichés ( en réalité il n’y en a que 11 car il s’est trompé sur l’origine d’un cliché qui n’a pas été fait par Blanchard). J’étais guidé par un seul souci, celui de l’honnêteté.
      - Dans le cas où la paternité de documents ne peut être ou n’est pas attribuée dans une édition publique, la coutume de l’édition veut que les ayants droits peuvent toujours se signaler et réclamer des droits à posteriori ? Encore est-il qu’ils le fassent en temps et heure ? Que ceux de Monsieur Blanchard ne l’aient fait plus tôt car il y a plus de 10 ans que le livre est sorti. Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi juste avant les élections ?
      - ce petit-fils de Monsieur Blanchard, et d’autres héritiers avec lui croient-ils que ces 11 clichés sur plus de 300 publiés dans le livre ont pu être déterminants dans la vente publique de l’ouvrage ?
      - ce petit-fils de Monsieur Blanchard possède-t-il mon autorisation liée au droit à l’image d’un cliché fait par son grand-père alors que je me trouve enfant sur un char lors d’une Fête des Thoniers à Port-Tudy ? Ce cliché, peut-être vendu par Monsieur Blanchard lui-même, a été utilisé par un auteur pour illustrer un petit ouvrage sur Port-Tudy paru il y a une douzaine d’années. J’entends bien l’argumentation qui consisterait à dire que ce cliché a été aussi utilisé sans demande préalable. Qu’importe, c’est du droit à l’image qu’il s’agit et seul l’auteur dans la jurisprudence est comptable de l’usage fait d’un cliché où figurent des tiers qui n’ont ni donné ni signé leur accord pour y figurer. La jurisprudence s’étend même aux maisons, aux objets. Et par voie de conséquence aux bateaux . L’héritier de monsieur Blanchard peut-il me fournir une autorisation de mon grand-père Maurice Gourong pour avoir photographié son voilier l’Angélus du Soir lors des régates de 1950 ? A-t-il toutes les autres autorisations des gens encore vivants aujourd’hui qui ont été pris par son grand-père lors de fêtes et manifestations à Groix dans les années d’après-guerre ?
      - Pierre Blanchard n’avait sans doute pas le souci de faire de son œuvre photographique une entreprise mercantile. Il le faisait par amour des gens et de son île natale. Comme j’écris souvent en hommage à ma grand-mère Mariange. Pierre Blanchard a travaillé pour la postérité. C’est son honneur et sa gloire. Si aujourd’hui ses héritiers veulent essayer de s’enrichir avec son œuvre, c’est leur droit le plus strict. Ils ont ainsi l’occasion de saisir la justice et de faire un procès à l’éditeur de mon ouvrage et non à l’auteur qui a quelque fierté à avoir fait attribuer ces 11 photographies non signées à Pierre Blanchard dont il garde le souvenir ému d’un homme affable, honnête, discret qui fut aussi un photographe sensible à cette époque où allaient sombrer dans l’oubli les dernières pages de la grande épopée à voiles. Qu’il en soit aujourd’hui loué et remercié !

      Etant entendu que cette mise au point n’appellera plus de ma part, en cas de prolongation de cette vaine polémique, que je n’arrive pas à m’expliquer sérieusement, aucune autre intervention sur quelque support public que ce soit…

    • Et il en tirait tellement profit qu’il fit carièrre dans le bâtiment .
      De plus ce n’est pas en achetant l’ouvrage petites et grandes histoires de l’île que je deviens propriétaires de ces droits d’auteurs . Donc l’objet de la propriété intellectuelle n’est pas cessible avec l’objet de la vente, déjà pour commencer .

      J’achêtes un cd de musique ou une photo ce n’est pas pour cette raison que j’ai le droit légitime de l’utiliser pour créer une oeuvre en m’exonérant des autorisations des ayants droits et de la rétribution des droits d’auteurs .

      De plus je ne dispose pas d’une quelconque " harangue fielleuse " propos que j’estime diffamants, je vous ai tout simplement informer que j’aimerai bien m’entretenir avec vous, quand vous aurez daigné utiliser votre téléphone ou votre plus belle plume, cela m’éviterait d’attendre de vous croiser sur le chemin des instances de la justice
      "en public ou à huis clos" cela se dit d’une séance monsieur Gourronc .

      Quant au droit à l’image je me demande par quels moyens il est possible d’identifier sur la fameuse photo de la régate dont j’ai les originauxs et dont vous avez éffectué une reproduction non autorisé P56 photo du haut de page il est possible d’identifier nominativement des bateauxs sous babords amures donc de profil et à une distance ou il est tout bonnement impossible de lire l’immatriculation .

      Il vous a peu être autorisé à en faire des diapositives de son vivant par contre je doute qu’il vous ai donné l’autorisation de les éditer dans votre ouvrage pour en faire du profit étant donné que la date de dépôt est postérieur à la date de sa mort .
      Vous auriez donc dû légalement nous en demander simplement l’autorisation .
      Et si vous estimez que ces clichés n’ont pu être déterminants à la vente de votre ouvrage pourquoi les avoirs publiées dans ce cas .

      Et " ce petit fils " entends bien faire respecter les droits de son grand pêre dont il a connu les qualités et qui a participé à mon éducation, 70 ans après sa mort ne vous déplaise monsieur Gourronc .

      Je n’ais pas non plus fait d’amalgames en rapport avec les élections .
      Donc je vous demanderai de ne pas hypothèquer sur mes convictions politiques,
      Vous seriez surpris !
      Et si vous aviez daigné nous répondre avec du respect je n’aurais pas été obligé de vous répondre avec tant de véhémence, sur un site tenu par des gens pour qui j’ai du respect (désolé, mille excuses anita et henry ) .

      Voilà tout simplement rien de plus à dire .

      le pabic romuald

  • SALUT ANITA.

    J’écris rarement mais consulte très régulièrement se cite , évidemment comme dit LULU il:ne faut surtout pas que cela s’arrête . Trouve une solution , tu dois bien avoir une petite idée et veille bien aux mauvais esprits qui pourraient l’utiliser a des fins moins honnêtes et nettement moins libérales .J’ai confiance en toi et te confit se qui déjà t’appartiens ; mon véritable regard sur groix !
    Bien le bonjour a tous et a bientôt. pascal orvoën