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Lettre municipale n°19 juillet août 2005
27 juillet 2005, par Admin - 21 commentairesEDITO
Qu’est-ce qu’un Groisillon ? Pourquoi ce terme fait-il si souvent polémique ? Est-il rassembleur ou diviseur ?
Le simple visiteur tombé amoureux de l’île et de ses habitants ne comprend pas toujours ce qui se cache derrière ce mot : "Groisillon".
Cet innocent ira chercher dans le dictionnaire une définition simple et logique : "personne habitant à Groix".
Fort de ces certitudes, il pensera croiser des Groisillons partout sur le caillou, heureux de vivre ensemble, toutes générations confondues. Il va vite déchanter.
Notre candide s’étonnera d’abord de voir s’afficher chaque été, des "vrais Groisillons" au volant de voitures immatriculées bien loin du Morbihan.
Sa surprise ira grandissant en constatant que parmi les îliens résidant à l’année, certains se voient refuser le titre de "Groisillon" sous le prétexte qu’eux-mêmes, un de leurs parents ou aïeuls, n’auraient pas eu la fortune de naître sur l’île (rappelons que depuis deux générations on naît plutôt à Ploemeur ou à Lorient, mais ne compliquons pas les choses).
Notre visiteur "étranger" (c’est comme ça que certains l’appellent à Groix sans la moindre malice) notre visiteur donc, cherche à comprendre un peu mieux la "Groisillonitude".
Il semble clair que dans la bouche de certains, "Groisillon" implique d’appartenir à un groupe fermé, où on n’entre pas comme cela, même en faisant patte blanche. On vous aimera bien mais on vous plaindra de ne pas être Groisillon, car dans vos veines ne coule pas le sang d’une famille qui a marqué la grande et les petites histoires de l’île.
Il commence à comprendre notre "Gourzoutte" (là, le dictionnaire reste muet) qu’il y a une certaine fierté là-dedans. Fierté respectable, avec une vraie histoire, la pêche thonière un patrimoine bâti... Oui ça a du sens pour notre ami candide.
Mais alors ces familles fondatrices, d’où viennent-elles sinon de l’île, référence absolue du qualificatif respecté de Groisillon ?
Il constatera vite par une visite à l’écomusée et dans les archives que la plupart de ces familles sont venues en leur temps... du continent.
Comment donc ces familles sont-elles passées de l’état d’"étrangers" à celui de "Groisillon" ? Sur quels critères ? Par quelle cooptation ?
Il s’avère qu’aucun critère objectif n’existe, on est finalement Groisillon dans le regard de l’autre, tout est relatif.
Eberlué, il s’entendra dire "tu ne peux pas comprendre, tu n’es pas Groisillon". Effectivement, ignorant tout de certaines querelles ineffaçables qui opposèrent des anciens au cours du dernier siècle, certaines tensions internes à l’île lui resteront obscures. Mais notre candide persiste à croire que "rien de ce qui est humain ne lui est étranger".
Têtu, il s’obstinera dans son observation : les îliens sont en pleine santé, pas de tare génétique qui révélerait des mariages consanguins, l’état civil montre que les Groisillons ont toujours forgé des alliances économiques et familiales avec les communes continentales, que Groix est finalement une terre de brassage, ce qui explique son dynamisme.
D’où vient alors que le terme de Groisillon n’est pas compris par tous de la même façon ?
Rien de bien étonnant en fait : comme n’importe où sur le globe, les hommes ont les mêmes comportements : installés quelque part, ils regardent avec une certaine méfiance leurs congénères s’approcher de leur pré carré. Si ceux-ci se posent sans bruit dans le paysage, et s’avèrent des voisins agréables, la méfiance laissera place au plaisir d’être ensemble. Les traditions universelles d’hospitalité sont là pour le dire. Pour dire ce que chacun sait depuis les travaux de la génétique : il n’y a pas de droit ni de supériorité par le sang, nous sommes tous pareils même ADN, mêmes défauts, mêmes qualités, même besoin de vivre en groupe, en famille, en société. On sait à quoi conduit l’ignorance de cette fraternité : guerres, massacres, génocides... la routine de l’Histoire et du journal de 20 heures.
Il se sent un peu mal à l’aise notre chercheur de sens : d’un côté la fierté légitime, la force de l’identité, et de l’autre un côté obscur prenant racines dans la xénophobie.
Il est d’autant plus mal à l’aise qu’il voit bien que certains cherchent à exploiter ce mauvais côté pour prendre du pouvoir, créer des divisions, s’attirer des fidèles. Jeu dangereux, surtout dans une petite communauté où il faut passer l’hiver ensemble, en voilure réduite, quand ce n’est pas à sec de toile... la solidarité des îliens n’est pas un luxe, mais une condition de survie.
Quelles conclusions notre ami tirera-t-il de tout cela ?
Il est bon d’être fier de ses parents, mais un homme se juge sur sa propre vie avant celle de ses ancêtres.
Même si le monde moderne entraîne trop d’insulaires loin de Groix, l’amour de leur île reste souvent intact. On peut être Groisillon de coeur et n’être pas îlien. Ce lien intime personnel ou familial ne justifie en rien un sentiment d’exclusion ou de supériorité.
Celui dont la chance et la détermination lui ont permis de vivre à l’année sur Groix montre ainsi son attachement à l’île, et mérite le respect. C’est un Groisillon. Que son arbre généalogique remonte au XVIIIème siècle ou qu’il soit la graine d’un nouvel arbre, qu’importe ! Il vient grossir les rangs des insulaires, qui en ont bien besoin.
Eric REGENERMEL
Commentaires
1. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 03:33
monsieur le maire,
votre groisillionnitude vous honore mais le mot "groisillon" restera pour les
individus nés à Groix ou ayant vécus avant les années 90 .Après, tout n’est que réflexion.
Pourquoi devenir groisillon à tout prix ?vous y vivez,vous y excercez ,vous en êtes le maire
donc de fait ce statut semble acquis à ces personnes s’y étant établies depuis les années 70
Pourquoi voulez-vous ériger une définition ?pour les nouveaux arrivants...
Depuis 35 ans je vis au Québec, j’ai milité au parti québécois à un haut niveau avec René
Levesque, Parizeau et Landry,mais je ne sera jamais considéré comme un québécois.
Alors Monsieur le Maire, faites comme moi intégrons-nous et vivons bien.
Jean Charles Le Borgne
né à Locmaria
6
1. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 07:25
excellente réponse. Le maire s’est obligé de justifier son état d’homme vivant à groix et à écrire ses interrogations suite à une altercation lors du denier conseil municipal de groix lorsqu’il a été décidé que les groisillons auraient la gratuité au musée. Mais sur quels critères, la carte pass ilien, la famille, la naissance... Il a été offusqué lorsqu’une de ses conseillères municipales s’est interrogé : "mais vous n’êtes pas groisillon, Monsieur le maire !".
Sa femme, ses enfants sont Groisillons. Lui ne le sera jamais, il sera îlien. n’a t-il d’ailleurs pas dit dans la presse récemment qu’il était de famille Tchèque. Alors ?
J’habite et travaille sur l’île depuis plus de 15 ans et je n’ai jamais revendiqué le fait d’être groisillon. je vis à Groix, c’est tout et suis ilien. Je laisse volontiers aux Groisillons, qui sont de familles groisillonnes, riches d’histoire leur forte identité et leur appartenance.j’en suis fier pour eux.
le maire veut-il encore une fois s’approprier l’identité groisillonne ou mieux la faire disparaitre. Il n’ a de cesse de banaliser groix et ses habitants .
2. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 09:11
Relents de racisme... poubelle ?
TM
parisien car habitant Paris... c’est la définition du dictionnaire
3. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 10:02
fier pour eux, mais pas très fier de soi, le nazillon anonyme
il ne sait pas qu’en 731, peut-être, une de ses aïeules ...
jp
4. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 10:36
""le mot "groisillon" restera pour les individus nés à Groix ou ayant vécus avant les années 90""
Le Québec n’étant pas devenu un pays modèle en anti-racisme (je le tiens de Lise .... ex député), je ne
sais si tu vas pouvoir y affiner tes notions d’intégration. On en parle à ton prochain passage (note la date du 14/8...) J’aimerais que tu m’expliques comment les définitions des dictionnaires auraient changé en 90 :))
Amitiés - Anita
5. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 12:11
Jeudi 28 juillet 2005, ANONYME (est-ce le même ?) écrit : ".../... j’en suis FIER pour eux.../..."
FIER : "arrogant, dédaigneux, distant, hautain, méprisant, prétentieux, suffisant" (Petit Robert)
FIER : "altier, avantageux, satisfait" (Petit Robert)
Ne faut-il garder que ces définitions (entre autres) et y ajouter "synonyme d’anonyme" ?
Pour ma part, je ne suis fier que de ce que j’ai accompli (c’est pourquoi je n’en suis pas très fier).
Quand je lis ce que certain(e)s ??? écrivent ici, cela me fait penser au contenu d’un shaker bien secoué . Vous versez le liquide dans un verre et vous constatez que le résultat du mélange a goût de fiel (pour ne pas dire autre chose) et qu’il sent mauvais. Mais impossible de distinguer dans ce galimatias l’ingrédient qui donne un si mauvais aspect au tout.
Ah ! ce serait bien si sur ce site, les gens s’exprimaient de façon claire et étaient "FIERS" de leurs propos. Il n’y a pas de honte à avoir un avis ou une opinion diffférents de celui, celle ou ceux avec qui l’on "dialogue". Dialogue ?
Henri Ménard - Groix
6. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 13:15
Sa femme, ses enfants sont Groisillons. Lui ne le sera jamais, il sera îlien. n’a t-il d’ailleurs pas dit dans la presse récemment qu’il était de famille Tchèque. Alors ?
vas jusqu au bout de tes ecrits, car je pige pas le sens de" Alors"
anonyme et pas facho pour deux sous celui la.
Il a été offusqué lorsqu’une de ses conseillères municipales s’est interrogé : "mais vous n’êtes pas groisillon, Monsieur le maire !".
ben elle s’ allie avec ce qu elle rejette ?......faudra m expliquer..........c est limite collaboration
quant a la fierte ca fais valeur de base pour base sans valeurs :) :) :)
je rejoins henri dans le sens ou je ne me sens fier que de ce que je fais et la aussi y a pas de quoi
ecrire une encyclopedie.
jplsk8
7. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 13:19
Dommage que mon grand-père ne soit plus de ce monde pour vous lire, ça le ferait sourire.
Ses amis de Groix (je n’ose utiliser "ses amis groisillons") le considérait plus groisillon que certains groisillons, il connaissait les meilleurs coins de pêche, il aimait l’île et ses cafés et il aimait ses amis.
Pourtant il est né près d’Angers et a passé ses vacances de 1945 à 1992 sur l’île et lui ne s’est jamais considéré comme groisillon. Et pourtant...
Vos réactions me surprennent et m’inquiètent. Pourquoi faut-il à tout prix remplir certaines conditions pour être considéré comme iliens, groisillon ou grosilien.
Je pense qu’être groisillon va au delà du simple état civil.
Christophe
8. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 13:29
Jeudi 28 juillet 2005 - "Je pense qu’être groisillon va au delà du simple état civil." - Christophe
C’est un beau et simple résumé.
Au-delà des échanges concernant le sujet, un grand merci d’écrire ici.
Salutations d’un "ex-Angevin" qui n’est ni de là, ni d’ailleurs. Qui "est" tout simplement
Henri Ménard - Groix
9. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 14:00
To be or not to be... apparemment il y en a au moins un qui a résolu sa question...
et comme il faut aussi choisir entre "être et avoir", vu l’état de "l’avoir" , il ne restait à prendre que "l’être" :)) Passons aux choses sérieuses :
""Il a été offusqué lorsqu’une de ses conseillères municipales s’est interrogé : "mais vous n’êtes pas groisillon, Monsieur le maire !". " (l’anonyme matinal)
Ce monsieur qui étale son racisme latent étale aussi sa méconnaissance des faits : s’il avait été présent lors de la dernière réunion du Conseil Muncicipal il aurait pu constater que la conseillère ne s’est pas interrogée et que le maire n’a été en aucun cas offusqué.
Je répète ce que j’ai déjà écrit dans le compte-rendu de cette séance : une conseillère a souligné que si la délibération indiquait que les Groisillons bénéficiaient de la gratuité à l’expo de l’écomusée, beaucoup de personnes n’habitant pas l’île se targueraient du titre de Groisillon pour ne pas payer. J’ai aussi précisé que les deux conseillers qu’on peut le moins qualifier de "révolutionnaires" ou même de progressistes ont affirmé que le terme s’applique uniquement aux habitants permanents de l’île. (Eux
doivent connaître l’usage du dictionnaire).
C’est aussi assez rigolo de voir comment certaines personnes détournent l’usage de ce site (après avoir détourné le sens des écrits...). Ce qui ne devait être qu’un outil d’information et de débats qu’on avait supposés pouvoir s’appuyer sur des arguments solidement fondés devient pour certains l’arme de défense d’un clanisme que quelques uns entretiennent lorsqu’ils y ont des intérêts, au mieux politiques, au pire seulement économiques.
Je dois devenir sage si je finis par trouver ça rigolo plutôt que de m’en offusquer en permanence :-))
AM
10. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 28 juillet 2005, 20:50
aille les descendants du roi rene :) :) :)
jplsk8
11. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 30 juillet 2005, 21:52
Y en a marre de ces discussions groisillons pas groisillons ? iliens pas iliens ? Bretons pas Bretons ? ca commence comme cela ca fini par le communautarisme...il est Français merde ca suffit !
JCF
12. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 30 juillet 2005, 22:42
bonjour
Sujet délicat, à débattre sur l’aire à battre, j’ai été baptisé ici et j’en suis devenu mécréant.
Je vous propose de débaptiser cette ile......."Nouvelle Ile" par exemple !!!!!!!
Stephane Baron
13. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 7 août 2005, 14:49
sujet délicat à débattre en effet car je suis souvent partager entre deux sentiments :celui d etre fière d etre groisillonne et de penser qu on est groisillon de génération en génération , et paradoxalement je pense aussi qu on est groisillon quand on habite sur l ile, et qu économiquement on fait vivre les commerces, les écoles, hiver comme été, méme sil on a vécu des années a Paris et qu on est venu s installer a Groix par la suite .mais franchement je suis désolé de dire ceci je pense que si monsieur régenermel se justifie si bien dans son bulletin municipal c est sans doute qu il ne se sent pas a la l aise parmi la population groisillonne car si cela lui passerait par dessus la téte il n en évoquerai pas méme une ligne ;le problème c est ;je pense qu il nest pas a groix pour les mèmes raisons que certains :ce n est pas pour des raisons affectives mais pour des raisons financières : a groix beaucoup de personne sont là pour s en mettre plein les poches !il a réussi sa vie professionnelle tout simplement !et je pense que groix il s en fout un peu !!!!!!méme beaucoup
14. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 7 août 2005, 15:10
signé pl
15. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 7 août 2005, 21:16
.mais franchement je suis désolé de dire ceci je pense que si monsieur régenermel se justifie si bien dans son bulletin municipal c est sans doute qu il ne se sent pas a la l aise parmi la population groisillonne car si cela lui passerait par dessus la téte il n en évoquerai pas méme une ligne ;le problème c est ;je pense qu il nest pas a groix pour les mèmes raisons que certains :ce n est pas pour des raisons affectives mais pour des raisons financières : a groix beaucoup de personne sont là pour s en mettre plein les poches !il a réussi sa vie professionnelle tout simplement !et je pense que groix il s en fout un peu ! ! ! ! ! !méme beaucoup
il en a peu etre un peu marre qu on lui rabat les oreilles avec ce genre de discours.
le mot "penser" prend uns serieuse claque quand il est associé a ce genre de propos,
c est cool d appeler Monsieur quelqu’un que l on astique a tour de bras.
jplsk8
16. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 8 août 2005, 16:01
""Il a réussi sa vie professionnelle tout simplement !et je pense que groix il s en fout un peu ! ! ! ! ! !méme beaucoup""
On ne se présente pas à une responsabilité municipale quand on se fout de sa commune...
Et surtout, on ne prend pas la peine d’écrire un édito comme celui-là qui essaie d’analyser la situation actuelle de la difficile cohabition sur l’île.
Une des diffficultés de la communication ici est que beaucoup ne lisent que la phrase qui les intéresse, d’autres déforment même, sciemment ou non, ce qui est écrit.
Le maire, dans les paragraphes ci-dessous, essaie simplement de dire que ne pas renier ses racines pour un Groisillon ne doit pas conduire au racisme. Hélas, c’est très mal compris dans une commune où plus de 17 % des électeurs votent Le Pen !
Quand aux raisons affectives qui l’ont amené à vivre à Groix, je pense que ce n’est à personne d’autre qu’à lui ou sa compagne d’en juger...
"" il n’y a pas de droit ni de supériorité par le sang, nous sommes tous pareils même ADN, mêmes défauts, mêmes qualités, même besoin de vivre en groupe, en famille, en société. On sait à quoi conduit l’ignorance de cette fraternité : guerres, massacres, génocides... la routine de l’Histoire et du journal de 20 heures.
Il se sent un peu mal à l’aise notre chercheur de sens : d’un côté la fierté légitime, la force de l’identité, et de l’autre un côté obscur prenant racines dans la xénophobie. ""
A méditer sans relâche...
– AM
17. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 8 août 2005, 21:09
c’est quoi, pl ??
jpicart
18. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 8 août 2005, 21:15
Chacun peut évidemment trouver dans l’édito du Maire ce qu’il y cherche,
mais ce texte a le mérite d’être clair et courageux.
jpicart
19. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 17 août 2005, 11:33
c’est nouveau depuis quand on a le même ADN ,vous avez vraiment besoin de vous soigner de vos conneries ! OP
20. > Lettre municipale n°19 juillet août 2005 , 17 août 2005, 15:57
ouais et toi vu ce que tu piges et comme tu causes t as surement de l adn
de bouc
jplsk8