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SOIRéE CARAïBES.

vendredi 6 août 2004, par Admin

Le Festival du film insulaire propose une « soirée Caraïbes », à partir de
21 h, dans les jardins de l’Esméralda.

Jérémy, le DJ de la Radio des îles,
animera la soirée avec des musiques venues de Cuba, de Haïti et des Antilles
et le chanteur haïtien Bob Bovano chantera son pays. Entrée gratuite.

Copyright © Le Télégramme 06/08/2004

Commentaires

  • Retour de la soirée "Caraîbes" du festival où j’ai eu, entre autres, l’honneur et le plaisir de danser
    et de discuter avec Bob Bovano, l’Haïtien.

    J’ai fait part de ma surprise à JL Blain, le directeur du festival, de ne voir, à 22 heures, qu’une lourde majorité de touristes et de résidents secondaires. Celui-ci m’a répondu : t’inquiète, les Groisillons arriveront après minuit....et il avait raison. A l’heure où les "élites" (le maire, D. Voynet...etc) étaient parties se coucher, l’ambiance a changé !
    Pourvu que les organisateurs du festival se rappellent, (comme je l’ai écrit ailleurs il y a 3 ans, mais, hélas, dans ces temps lointains, la censure existait) qu’il ne faut pas exclure les Groisillons, sans cela, le festival n’y gagnera pas la part de son âme qu’il mérite.

    Nous espérons, lors des cérémonies de la prochaine édition du Fifig, qu’elles seront entièrement ouvertes au public, même si cela doit se faire sans petits fours et vin d’honneur, que ni le budget du festival , ni celui de la commune ne permettent....

    Autre bémol, j’ai vu ce soir, devant chez Madame Eva Joly, des sacs poubelle aussi disgracieux qu’illégaux. Elle qui professait : """A Groix, il faut se faire accepter""" dans le Ouest France du 1 8 04, elle commence mal.....Ca n’étonnera que ceux qui n’auraient pas tiqué quand cette dame dit :
    JE fais des travaux, JE plante...Elle pourrait au moins reconnaître le concours que lui apportent les
    travailleurs de Groix.

    Eh oui, contrairement à ce que disent certains, Groix peut continuer à vivre debout et fière d’elle,
    sans se prostituer, même si ses habitants savent admettre qu’ils ont besoin de l’apport (si possible
    respectueux) du tourisme.

    Anita Ménard