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Conseil : il faut maintenir la plateforme médico-psychologique

vendredi 1er octobre 2004, par Admin

Le conseil municipal s’est réuni mercredi soir.

Outre l’approbation des
comptes rendus des deux réunions précédentes, l’ordre du jour portait sur
des points essentiellement techniques, mais il a surtout été question de
l’importance de maintenir sur l’île la plateforme médico-psychologique.

Ouest France 1 10 2004

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  • MAINTENIR LA PLATE-FORME MEDICO-PSYCHOLOGIQUE

    Le conseil municipal s’est réuni mercredi soir. Outre l’approbation des comptes rendus des deux réunions précédentes, l’ordre du jour portait sur des points essentiellement techniques, mais il a surtout été question de l’importance de maintenir sur l’île la plate-forme médico-psychologique.

    En début de séance, l’absence de Dominique Yvon, conseiller de l’opposition, n’est pas passée inaperçue. Assidu du conseil depuis trois ans, il avait annoncé sa démission, il y a quelques jours. Il s’avère qu’il est inéligible pour une durée de 5 ans, en vertu des article L.6 et L.7 du code électoral.

    Dans le cadre de l’approbation des comptes rendus des 2 réunions précédentes, Joël Tristan a réagi vivement contre les propos tenus par D. Yvon, lors de l’avant-dernier conseil. Dans son intervention relative au bordereau sur le Plu, il a laissé entendre que "les élus présents agissaient en tenant compte de leurs intérêts personnels". J. Tristan relève "les confusions soulevées indûment". Il estime que "ces propos étaient diffamatoires" et il les conteste. Il ajoute, d’autre part, qu’"aucun terrain n’a été proposé pour une constructibilté nouvelle".

    A propos de la subvention complémentaire au CCSA, il a été souligné l’importance du maintien de la plate-forme médico-psychologique sur Groix. Dominique Cany est intervenue pour faire remarquer que 15 enfants bénéficient des services de l’orthophoniste. La psychologue qui se consacre aux jeunes a pu être gardée mais la Cnam n’a pas suivi car, selon l’organisme, cela relève du service public. Or l’hôpital Charcot refuse de le mettre en place. "Ce serait désastreux si ce service n’existait plus. Le budget principal doit faire un effort", relève D. Cany. Pour Joël Tristan, ce devait être du ressort du conseil général. D’ailleurs, des démarches sont faites dans ce sent. Cette question est approuvée à l’unanimité.

    Ouest france 1 10 2004

    • Les élus se penchent sur le foyer-résidence

      Au conseil municipal du mercredi 30 septembre, l’essentiel des questions à l’ordre du jour portait sur des points techniques comme l’approbation du budget, le rééquilibrage de comptes ou le vote de demandes de subventions relatives à l’engagement de certains travaux. Sur les deux questions rajoutées à cet ordre du jour, l’une concernait le foyer-résidence.

      En fin de séance, la caution d’une ligne de trésorerie pour le CCAS a été proposée, étant destinée au foyer-résidence.
      Le foyer fonctionne avec différentes recettes ; or il y a dix résidents pour lesquels le forfait journalier n’entre pas en caisse. La Dass n’a pas accepté la création de ces dix nouveaux logements, ce qui occasionne un manque à gagner budgétaire. Pour passer en Epad (nouveau régime des personnes dépendantes), c’est très compliqué, mais Dominique Cany précise que " des négociations sont en cours ".
      Comme autre projet en cours, il y a l’aménagement d’un local à conteneurs près des blocs sanitaires, pour améliorer le site de Port Tudy et pour lever la polémique qui enflait au sujet de la dégradation du port. Surtout en période d’été, le port de Groix recueille énormément de déchets.
      A ce propos, le maire Eric Régénermel souligne qu’une réunion s’est tenue dernièrement avec les
      responsables de la déchetterie et il précise : " Il semble qu’on ait été entendu. La question est en réflexion et nous comptons aborder la saison 2005 avec plus de sérénité ". La recherche de subventions pour la création du local est votée à l’unanimité.
      La rénovation du camping du Méné avait été décidée en 2002. La délivrance du permis de construire et l’autorisation de démolition ont mis beaucoup de temps, car on se trouve sur la zone littorale. Il s’agit de la construction d’un bureau d’accueil et de deux blocs sanitaires supplémentaires. Après accord du département pour la subvention, il faudra relancer la région. Cette question aussi est votée à l’unanimité.

      Ouest france 1 10 2004