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Alex le navigateur fait la une de "Voiles"

vendredi 16 décembre 2005, par Admin

Voiles N° 419 Janvier 2006

« Le bonheur est sur l’eau ! » semble nous dire le barreur d’Horus. Oui, en course, en croisière, sur des gros voiliers ou des petits, le plaisir est là !

Photo Alex de Roquefeuil.
(Merci à Louis Barbusse pour l’info)

Commentaires

  • Quel bonheur cousins 3M, quel plaisir communiqué par le sourire du "noble Alex", immortalisé pour la postérité sur "Voiles".

    Que celà vous fasse oublier touts vos tracas et surtout vous stimule pour vos heureuses intiatives sur la toile, webcam, photos couleur etc...

    De quoi en boucher un coin aux anonymes et légions de contradicteurs, métèques ou indigènes.

    Je vous dédie le célèbre proverbe créole que vous méritez bien (sauf peut-ête AM) :

    "Qé bé raid, pa molli !!!!!!

    Kénavo déoc’h

    L’échanson à boire.

  • j’aurais découvert la parution de l’article grâce à toi, si un pote ne m’avait pas prévenu entre-temps. Bon, je cours acheter le canard, j’ai hate de voir ce qu’ils ont mis dedans. Rien que le titre de la couverture :" ils ont survécu..." me fait peur. Encore une fois merci pour ta vigilance et la rapidité des infos sur ton site.
    amitiés
    Alex

    • Cher Alex et les tiens,

      Voilà une photo bien jolie pour évoquer votre grand périple sur mer.
      Je me joins à toi pour remercier la vigilance et le travail d’information fournit par Anita, Henri et cette intendance informatique incontournable assurée par leur fils.

      Suivre ainsi par le net, loin du caillou, ce qui concerne de près les groisillons c’est à dire tous les habitants de cette petite île est une chance mais c’est aussi une dimension nouvelle : "un village avec le meilleur et le pire peut devenir planétaire" du moins virtuellement !...

      Vous qui avez fait le tour du monde, vous saississez sûrement avec acuité la nécessité d’une formidable ouverture aux questions et valeurs de ce monde en pleine mutation, et la nécessité d’un ancrage dans un terroir où l’on se ressource et où l’on retrouve ceux qu’on aime et qui comptent pour toujours.

      L’identité économique forte de Groix a été la culture nourricière quotidienne des terres par les femmes et l’épopée de la pêche au thon par les hommes. C’était une inscription au terroir et une ouverture au monde.

      Que tous les groisillons gardent ce juste équilibre entre prendre soin de leurs terres, de leurs valeurs de solidarité et ouverture et innovation pour un monde durable.

      ak., une palaisienne

      Je viens très régulièrement me ressourcer en cheminant sur vos terres. Cela me remet chaque chose à sa place après le brouhaha et le coté trépidant de la région parisienne.

      Je crois vraiment que cette île a un potentiel pour être un petit phare qui regroupe des énergies pour avancer dans le respect des êtres humains et de la Terre. Mais il faudra oser repenser le bien commun et reconstruire autrement les logiques économiques.

      ps : peut être que des palaisiens de longue date me diraient gentiment que je suis palaisienne depuis seulement douze ans, mais jamais il ne remettraient en cause le droit de me dire palaisienne puisque j’habite Palaiseau !.

      D’autres me diraient sûrement que ce qui comptent c’est ce qu’on apporte à la vie conviviale, au potentiel de la ville.

      Et quelques uns, qui ont trop bu ou trop imbu de leur ego, m’enverrai des mels illisibles et "se lâcheraient comme disent mes enfants ados !". "ëtre torché et se "lâcher" est devenu une manière de se comporter par les temps qui courent et pas seulement aux moments des fêtes, et en particulier chez des mineurs. Voilà qui rend le présent très flottant et l’équilibre entre attachement à un terroir et ouverture sur l’avenir bien fragile. Mais il pourrait en être autrement.

    • Certes, mais quel palais raffiné, palais royal, bien sûr, dans le 91, si je ne trompe.

      Nos cousins de Guermeur, surtout de Sauzon, graines de vikings, ont connu bien des vissicitudes, aux mains de la noblesse, plus longtemps que nous.

      Mais le saviez-vous ?

      Le chikourien breign.

  • en voyant la couverture de voiles et voiliers, je me disais bien qu’il y avait quelque chose de familier dans tout cela !
    bravo pour cette expédition !
    j’ai dévoré l’article, agréablement écrit, et j’ai hâte d’avoir le récit complet du périple !
    j kerjouan (hanjague 1999)