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Référendum. Oui sans suspense en Morbihan
mardi 24 mai 2005, par
La déchirante division du PS au plan national est à peine perceptible en Morbihan, sauf à Groix ou Séné chez les partisans d’Arnaud Montebourg. L’extrême gauche et ses relais alternatifs associatifs et syndicaux semblent mobiliser.
Bertrand Le Néna Le Télégramme 24/05/2005
Commentaires
1. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, 25 mai 2005, 15:41
Tant mieux ! Le Morbihan va de l’avant.
En entendant Mélenchon hier à la radio vanter la victoire virtuelle du "non", j’ai perçu ses propos optimistes et prétentieux comme un signe encourageant pour le "oui" : Les vantards perdent toujours en politique...
Merci au Morbihan d’être clairement pour le "oui" !
1. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, title="2005-05-25T14:12:40Z">25 mai 2005, 16:12
Et l’anonymat ferait gagner le oui ??
Pauvre Europe !!
AM
2. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, title="2005-05-25T16:18:14Z">25 mai 2005, 18:18
Ca serait fendar une réunion pour le oui avec des anonymes ! ils seraient masqués ! gH
3. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, title="2005-05-25T17:50:42Z">25 mai 2005, 19:50
faudrait pas oublier d’éteindre la lumière
jean Picart
4. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, title="2005-05-25T18:00:20Z">25 mai 2005, 20:00
Bien sûr ! Le vote anonyme est un principe fondamental de la démocratie.
Je peux toujours signer par des initiales... comme tout le monde ;-)
5. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, title="2005-05-25T18:16:08Z">25 mai 2005, 20:16
bravo !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
6. > Référendum. Oui sans suspense en Morbihan, title="2005-05-26T14:53:22Z">26 mai 2005, 16:53
Oui, vous POURRIEZ, mais même donner vos initiales vous fait peur (certaines initiales sont tellement connues sur ce site que répéter un nom entier ne servirait à rien)
Et confondre "vote anonyme" et "expression publique" est très légèrement tiré par les cheveux.
Mais il est vrai qu’il fût une époque noire où même l’anonymat des dénonciations était fort bien porté... !!
Je crois que je ne guérirai jamais de la déception ressentie quand il a fallu que j’admette que "Groisillons courageux" n’était pas un pléonasme. Je crains d’avoir à connaître le temps où cela pourrait devenir antinomique.
AM