"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

Quand le racisme tue,

Publié le 28 juin à 15:58

en toute impunité, à Marseille.

Symbole de ce qu’il faut encore et toujours rappeler : les racistes laissés en roue libre tuent.

1973, à Marseille, une vague de crimes racistes révèle une France divisée sur la place des immigrés en France. Nous sommes 11 ans après la signature des Accords d’Evian, et alors que la crise économique pointe son nez, les travailleurs étrangers ne sont plus les bienvenus.

Début des années 1970. Depuis une décennie, l**’Algérie** n’est plus française. Mais la guerre couve encore. Dans les Bouches-du-Rhône en particulier. Autour de Marseille se sont installés des travailleurs immigrés algériens et des rapatriés d’Algérie. Une communauté qui n’a pansé ni ses plaies et ni ses rancœurs. Et alors que les travailleurs immigrés revendiquent des conditions de vie dignes, l’extrême-droite française tempête pour que soit stoppée l’immigration, qu’elle qualifie de sauvage. Dans ce contexte, un drame – l’assassinat d’un chauffeur de tram marseillais par un Algérien – met le feu aux poudres. En l’espace de moins d’une semaine, sept ressortissants algériens sont assassinés

Ces meurtres, et les autres agressions racistes subies pendant les mois qui suivent par les immigrés maghrébins en France, vont rester impunis. Témoins de l’immobilisme de la police, du désintérêt de la justice et de l’inaction des responsables politiques.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/affaires-sensibles/affaires-sensibles-du-jeudi-09-juin-2022-7588387

Commentaires :

  • Est-on héritier du temps et des choses ? Simplement être, véhicule t-il une approbation du passer, un accord, un refus, une interrogation ? Quelque chose que l’on fige à jamais dans le temps pour ne pas se sentir ennuyer, ou au contraire, une actualité brûlante qui a besoin d’alimenter le propos ?
    Où et Quand Etre bien ou mal ?
    Est-on devenu sot ? Il est aisé, et toujours aisé d’appliquer à un endroit, un mot. Comme une vertu immonde propre à sa superficie. Là est le nœud du problème. Sans Là, pas de nœud, sans Là, pas de problème.
    Mais l’esprit concourt à cela. L’esprit des gens. Il n’y a qu’a : "Voir, entendre, écouter, sentir, se faire le rapporteur !!! "
    Pensée est délictueux. Nombre de pays condamne encore la pensée de l’individu. La vie est un cours moment et l’apprentissage culturel enrichie chacun. L’acceptation dans sa maison n’est pas toujours le meilleur endroit.
    Est-il en droit de se sentir attaquer sur l’espace que l’on occupe ? Est-il en droit de dire que depuis décennies vous regardez votre sang dépérir ? Ou est-ce à dire que la fuite est une mise en avant ? D’ici, je peut parler, delà je suis mort ? Ma pensée, ma vie, mon village, ma culture, mon ethnie, mon appartenance valent mon oublie ?

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