"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

Mort de J-M Le Pen.

4 commentaires

Gilles Pennelle, conseiller régional de Bretagne : Jean-Marie Le Pen a eu l’occasion de voir que ses idées, nos idées, les idées du Rassemblement national ont pu progresser aussi en Bretagne. Sa disparition ne changera rien au fait que l’on arrivera au pouvoir un jour."

Marie Mesmeur députée d’Ille-et-Vilaine : Aujourd’hui ce n’est pas la mort d’un "personnage controversé" que la presse tente de romancer. C’est la mort d’un homme violent qui torture, d’un misogyne, négationniste et raciste.
Pas de pitié. Pas de romantisation. Pour toujours contre l’extrême droite.

Séverine Breton France3 07/01/2025


Vos commentaires

  • Le 8 janvier à 08:16, par Anita

    Le fondateur du Front national, qui est parvenu à fédérer dans les années 60 et 70 une extrême droite morcelée, a fait de son nom et de sa famille un empire politique, parvenant, à coup de provocations, à imposer ses combats racistes et identitaires au cœur du débat politique.
    C Forcari Libération

  • Le 8 janvier à 08:30, par Anita

    trois ans après Mai 1968, une bande d’extrémistes de diverses obédiences (néofascistes du mouvement Occident, antigaullistes pétainistes, anciens combattants de l’Algérie française, intégristes catholiques, poujadistes) confie la direction de leur nouveau mouvement, le Front national, à Jean-Marie Le Pen, ancien député poujadiste, bagarreur, bon vivant et bon tribun.

    A lui de les représenter dans une optique de prise du pouvoir par la force – l’exemple des dictatures d’extrême droite sud-américaines montrait que c’était possible – ou via les urnes par le biais, au tout début, d’une campagne essentiellement tournée vers l’anticommunisme. La question de l’immigration viendra peu après. L’avantage de Le Pen, aux yeux des membres de l’équipe fondatrice du Front national, était qu’il était assez peu classable dans le panel varié et violemment divisé de l’extrême droite. Jean-Marie Le Pen charmait de sa force brute, ses chansons de marins, ses allures paillardes et son érudition gouailleuse toutes les sphères groupusculaires de l’extrême droite des années 70 et du début des années 80.
    Ses seules convictions profondément ancrées étaient alors des détestations : les Juifs et la République.
    Thomas Legrand Libération

  • Le 8 janvier à 23:41, par Fido

    Mort de JM Le Pen : un détail de l’Histoire

  • Le 9 janvier à 08:43, par Anita

    et encore : parler « d’Histoire » à propos de cet ignoble individu, c’est lui faire beaucoup trop d’honneur !

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