"Anita, de Groix"

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Mardi, les infirmières dans la rue.

2 commentaires
Le "Césame" (Angers) à Paris en 1988

Dans les hôpitaux, le taux d’absentéisme oscille entre 8 et 10%. On recourt à l’intérim au bloc opératoire et pas ailleurs. Les fournitures sont données au compte-gouttes. Les jeunes boudent les formations, alors que le concours d’entrée disparaîtra en 2019. Trente ans après les grandes grèves de 1988, rien n’a changé. Sauf que faire descendre 100.000 blouses blanches dans la rue est beaucoup plus compliqué.

E Souffi JDD 19/11/18


Vos commentaires

  • Le 20 novembre 2018 à 13:37, par Anita

    et on entend la ministre parler sans complexe uniquement des libérales ! Que les hospitalières en sous-effectif crèvent !
    AM

  • Le 20 novembre 2018 à 14:58, par Anita

    « Cela fait des années qu’on se bat pour obtenir des revalorisations de notre exercice. Et on n’a cessé de nous répéter qu’il n’y avait pas d’argent. Et là , hop, d’un coup, on débloque 200 Millions pour satisfaire les médecins  ! Une infirmière qui travaille toute une nuit à l’hôpital touche une surprime qui n’atteint même pas 10 €. S’il s’agit d’un parent isolé, comment voulez-vous qu’elle arrive à payer une nounou  ?
    La Croix 20 11 18

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