Les 10 ans du Triskell
1 commentairePas de surprise ! et heureusement, elle n’aurait pu être que mauvaise :-))
Cathy et Bruno ont, comme d’habitude, fait les choses à la perfection. Un buffet attendait les premiers invités en début de soirée. Malheureusement, le devoir nous attendait au Ciné-Club pour la projection de l’Esquive, "devoir" d’autant plus facilement accompli que le film mérite bien tous les prix qui l’ont couronné. Encore une fois, félicitations au comité de sélection de Cinéf’îles. Cerise sur le gâteau, le joli film de Dominique Thibault et Yann Roland, avec les enfants du CP de l’école communale. On ne devrait pas trop le diffuser, c’est une vraie publicité pour notre bijou-caillou au calme.
Retour au Triskell pour écouter Papis Gadio. Il faut jouer des coudes pour que l’appareil photo ne soit pas sorti pour rien. Le groupe ayant le rythme communicatif, spectateurs et danseurs se disputaient l’espace qu’on regrette toujours ces soirs-là un peu limité.
A l’heure réglementaire de la fermeture, repli vers le Noroît, seul bar ouvert jusqu’à deux heures. Eh oui, les soirées extérieures groisillonnes sont courtes mais ne dit-on pas que ce sont les meilleures ? A voir l’air jovial des participants, les conversations entamées avec les uns, terminées avec les autres, on se dit que les retrouvailles entre "locaux" s’apprécient sans doute d’autant mieux et ne peuvent avoir ce goût que parce qu’on en est privés une partie de l’année.
On avait souhaité à Cathy et Bruno de pouvoir les retrouver là dans dix ans. Je me rends compte ce matin que j’étais un peu présomptueuse ;-)



Vos commentaires
# Le 18 janvier 2009 à 15:40, par Anita
Pour les jeunes acteurs du film, c’était leur première expérience en tant qu’acteur. Seule Sarah (qui joue Lydia) avait déjà fait deux figurations.
Le langage des cités
"Je voulais démystifier cette agressivité verbale, et la faire apparaÎtre dans sa dimension véritable de code de communication. Une sorte d’agressivité de façade qui cache bien souvent de la pudeur, et même parfois une véritable fragilité, plus qu’une violence à proprement parler "
Abdellatif Kechiche,