"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

Le Sextant, la nouvelle librairie

15 commentaires

" Nous lui avons donné pour nom Le Sextant parce que c’est un instrument de marine qui donne le cap »," explique Patrick Saigot. " Nous allons développer la documentation en sociologie, sciences sociales, féminisme et géopolitique ", ajoute Mathieu Martin. Fan de bande dessinée, Patrick Saigot a créé le festival La Grande traversée. Le Sextant dispose donc d’un beau choix de BD, d’une sélection jeunesse avec des mangas ainsi qu’un rayon vinyles.

Ouest-France 11/12/24


Vos commentaires

  • Le 11 décembre à 19:28, par Anita

    si par malheur Mathieu ajoute à son choix les polars nordiques, alors là, je vais me ruiner !!

  • Le 12 décembre à 13:48, par claude HUCHET

    Bonjour,

    Juste pour info, le sextant (l’instrument) est bien un outil de marine, en revanche, il ne donne en aucun cas le cap, il permet de déterminer la position du navire.

    Savoir où l’on est, est cependant une bonne base pour déterminer le cap à adopter pour arriver à destination, à cet effet on utilise le compas, la" boussole " pour le béotien.

    Je doute qu’un sextant ou un compas soit le bon outil pour " développer la documentation en sociologie, sciences sociales, féminisme et géopolitique "

    Mais, après tout, les bobos nous ont déjà réservé d’autres surprises

    Claude Huchet

  • Le 12 décembre à 14:40, par Anita

    fan de ces "littératures" et ayant pas mal de points communs avec ces nouveaux libraires, je dois donc considérer que tu nous classes parmi les "bourgeois bohèmes". Moi qui croyais être proche de tes centres d’intérêt, dois-je donc te joindre à notre communauté ? (où je fais pâle figure à cause de mes maigres revenus...).

  • Le 12 décembre à 18:41, par Fou...

    Encore un coup des anglo-saxons aves leur 1/6 iem de pied..Mais comme disait Lao Tseu : Reste au vent de de la boué.

  • Le 12 décembre à 20:13, par Fou...

    Titre d’un livre :L’autre bout d’une blonde .. Clin d’oeil à Jacque Cartier et au Quebeq qui sans sextant ne l’eusse abordé.

  • Le 13 décembre à 10:23, par MB

    réponse à mr Huchet. Quel intérêt d’argumenter sur la définition du mot " sextant" , même si vous avez raison et peu importe qu’on utlise le mot boussole ou autre. par contre développer la documentation en sociologie, sciences sociales, féminisme et géopolitique a toujours permis aux lecteurs de connaître plus profondément la société et le monde dans lequel on vit et d’apporter des sujets de réflexion, donc plus d’ouverture d’esprit. Quid de cette expression "bobos", complètement galvaudée et péjorative, s’informer intelligemment , réfléchir, serait-ce une tare ? Bon vent au Sextant. Cordialement

  • Le 13 décembre à 10:39, par Anita

    A lire les différents commentaires oeuvres de Groisillons DE SOUCHE on s’aperçoit vite que le substantif "bobo" est employé pour qui n’a pas le nombre d’aïeux requis au cimetière et surtout pour toute personne laissant transparaître un intérêt pour les manifestations culturelles. Le meilleur exemple en est le public des films que ce soit au Fifig ou au cinéma des Familles. j’ai même lu que les choix de Cinéf’île étaient nuls alors que peu de cinémas peuvent se vanter d’avoir en permanence un choix de telle qualité.
    On ne peut pas dire non plus hélas que l’exemple de soutien aux activités culturelles soit donné par l’équipe municipale majoritaire....
    Cela fait que des prolos bon teint comme moi se voient affublés de cette ""qualité"" de bobo. En un mot comme en cent, savoir lire et observer un tant soit peu au delà du bout de son nez est déjà une tare !

  • Le 13 décembre à 11:56, par MB

    très bien dit, exactement ce que je pense (FIFIG, CINEMA..), on se sent moins seule. La culture, les arts ont toujours élevé la pensée , et n’ont jamais été l’apanage de classes sociales, heureusement encore ! merci pour votre blog qui suscite toujours de la réflexion, que l’on soit d’accord ou pas.

  • Le 13 décembre à 21:51, par Fou...

    On ne se reveille pas non plus à chaque matin comme un poulpe pythagoricien sans une part de doute, un cerveau dans chaque bras et des ventouses pour lecher les pages de huit livre en mème temps..

  • Le 15 décembre à 13:43, par peric

    Yé ! pour rester dans le binaire...(c’est le bon média, le codage internet est fait de 0 et de1 ) aux affreux, sales et méchants greks et aux brillants, généreux et cultivés néo.groisillons .Rien n’oblige la fréquentation de la nouvelle librairie du leurhé ni de la pêche aux encornets...oh salver er bed ! peric

  • Le 15 décembre à 14:12, par Fou...

    Quanq en plus les rechrerches sur l’objet renvoie vers des parties de plaisirs intimes cela peut créer une confusion.. comme la fois ou j’ai voulu en savoir plus sur l’histhoire du chef Amerindien Crazy Horse ...

  • Le 15 décembre à 14:17, par Anita

    ça ne vous va pas trop bien de jouer les caricatures Peric .
    Et on sait où trouver les spécimens originaux :-(
    du style : "un certif des années 40/5O vaut un bac actuel."
    Je me souviens pourtant qu’à cette époque, étant en CM2 à 10 ans avec les élèves de la classe du certif, je bénéficiais avec une autre élève d’heures études supplémentaires avec problèmes de trains et de robinets tirés d’un livre spécial de ma vieille instit, nécessaires d’après elle pour avoir le niveau pour entrer en sixième (et accessoirement obtenir une meilleure bourse)
    malgré ça, j’ai toutes les raisons de douter que ce niveau permettrait d’obtenir le bac actuel (j’ai suivi de près les études de mon petit-fils).
    J’admettrais si on me pousse un peu, que la majorité des certifiés de l’époque faisaient moins de fautes d’orthographe que les bacheliers actuels mais c’est bien tout !

  • Le 15 décembre à 14:18, par Anita

    Il va falloir que tu nous racontes ça un de ces jours, Fou :-)

  • Le 15 décembre à 14:31, par Anita

    pour aider au mélange des cultures, vous devriez Peric nous offrir la traduction de vos expressions locales.
    Cela soulagerait un peu les efforts de Mailys

  • Le 15 décembre à 16:56, par Anita

    Philippe Torreton :

    "Je ne savais pas qu’en 2024 une telle opinion, un tel mépris envers le monde culturel et associatif pouvait, non seulement se concevoir, mais également s’assumer avec cet aplomb que doit certainement autoriser l’ignorance débridée."

    (Le Monde 15/12)

    Il ne doit pas souvent quitter la capitale ce Mr :-(

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