LA QUESTION...
Publié le 10 mars 2014 à 17:15 - 1ere mise en ligne le 4 mars 2014C’est parti ! La campagne électorale pour la conquête ou la conservation de la mairie est ouverte...
Une question me taraude depuis un certain temps...
LA QUESTION
(au féminin singulier)
Quelle que soit la prochaine équipe en charge de la gestion de la communauté groisillonne, celle-ci a-t-elle d’ores et déjà prévu de mettre de l’ordre dans l’organisation des services municipaux où l’on constate ("on" - lui - est à mettre au pluriel) depuis plusieurs années, un "sens aigü de la pagaille", de "n’importe quoi", de "on a oublié", de "c’est fait, mais...", "d’incompétence", de "c’est pas moi, c’est l’autre", de "prise de pouvoir de petit chef" au détriment des collègues, "d’indolence" et de "je m’en fous"... On peut en rajouter !
Cette équipe s’engage-t-elle à remettre "LA QUESTION" à la place où son grade devrait la cantonner sans qu’elle interfère négativement dans la bonne marche des services ?
On verra peut-être, au fil des réunions pré-électorales, si j’ai une réponse à ce questionnement que je sais collectif.
Henri Ménard - Groix - du bureau d’enregistrement des plaintes...
Commentaires :
4 mars 2014, 14:37
Mr Ménard, si vous aviez assisté à la réunion de l’opposition samedi, vous sauriez que le sujet a été abordé (sous l’appellation de "poisons"). Mais, effectivement, il n’a pas été abordé la solution au problème posé par "la question" , seulement de la correction d’une ou deux de ses dérives.
Espérons que ce sera pour une prochaine réunion et que ça nous donnera des indications de vote !!
AM
8 mars 2014, 02:12
Un seul commentaire pour cette question .. c’est pauvre.
Si je me souviens bien de quelque part.
Etre soumis ou interrogé a la " Question" est relatif à l’inquisition
et la torture ...
Si vous avez nuance ... à vos plumes
Fou
10 mars 2014, 11:14
Effectuant une recherche sur un autre sujet, je suis tombée sur ce sens particulier du mot "Grésillon"
"La torture des grésillons (sorte de menottes rougies au feu) consistait à emprisonner les doigts et les pouces dans une sorte de presse infernale qui les écrasait et les grésillait" (Revue de Normandie, 1895)
Une autre sorte de "grésillons" servait à écraser les secondes phalanges des pouces de la main et du pied entre deux tiges de fer serrées par un écrou.
Il y a donc bien un rapport entre la torture et notre ancien ethnonyme !
La seule différence est que les victimes de la "question" (synonyme, comme tu le rappelles, de torture) par grésillons, si elles sortaient blessées de l’aventure, ne pouvaient tenter de récupérer par un arrêt de maladie ou autre. Que n’avaient-ils en même temps inventé la Sécurité Sociale ?
10 mars 2014, 11:23
J’ai oublié de signer Am
et j’ai été un peu prétentieuse pour nommer mes concitoyens : j’aurais dû dire "notre ancien gentilé" et pas "ethnonyme".
Quoique l’envie s’en fasse sentir chez certains, nous ne sommes pas un "peuple" mais une population ;-)
AM