Inventaire du patrimoine vivant
4 commentairesAprès deux interventions sur le marché et deux réunions publiques, l’idée était de questionner : « Quelles sont les singularités des pratiques culturelles groisillonnes ? ». Recenser le patrimoine matériel et immatériel (danses, langues, gastronomie, fêtes, savoir-faire) dans un contexte de repeuplement des îles bretonnes. Groix prend le chemin de la sensibilisation pour mieux préserver.
Le Télégramme 24/11/24
Vos commentaires
# Le 24 novembre à 17:43, par Anita
Préserver le patrimoine est-ce que ça inclut la préservation des noms des sites de l’île ? Pourrait-on ainsi inscrire dans ce patrimoine que toute la ria de St Nicolas s’appelle Prohor et pas seulement la crique proche de Kerlard, n’en déplaise aux néos de ce village ?
# Le 25 novembre à 08:34, par THIERRY VOISIN
Alors pourquoi ne pas éditer (et diffuser largement ) une carte précise de l’ile, avec tous ces noms qui risquent effectivement de se perdre ?
# Le 25 novembre à 09:24, par Anita
Hélas, dans mon village d’origine, pourtant pas parmi les premiers envahis de résidents secondaires, je ne suis pas certaine qu’il reste des opposés au mésusage du nom Prohor !
Et quand j’imagine l’orthographe qui serait attribuée à certains lieux, je pense à l’opposition virulente de Groisillons de souche à celle de kwing pod, l’orthographe qu’elle soit du breton ou du français ne faisant pas partie de leurs préoccupations majeures, c’est le moins que l’on puisse dire.
et comment ne pas penser à l’Incontournable qui nous manquerait pour établir une telle carte :
https://ile-de-groix.info/blog/Carnet-noir-15999
# Le 26 novembre à 03:48, par Franck Louis Le Grun
Laisse l’incontournable. Tout est déjà écrit. Même la date de sa mort. Comme tout à chacun ?
Mais que veut dire patrimoine vivant ?
La communauté insulaire est morte. Les chigouriens ne sont plus, la trame matriarcale a péri comme périssent dans l’avenir les passants de mémoires.