En Bref
5 commentairesLes drakkars vikings étaient de retour sur l’île ce week-end

C’est le plus grand, l’Olav Kyrre, 10,57 m, construit en 1989 à Bjørkedal par Jacob Helset qui a fait la traversée des Courreaux suivi d’un faering.
Concernant le tumulus de Cruguel, à Locmaria, Thorvald aventure nourrit des projets qu’ils souhaitent proposer à la municipalité.
Ouest-France 12/10/2009
À Groix aussi on a un drakkar !

« Il s’agit en fait d’une annexe de Dreki qui servait de bateau de transport dans les fjords, explique William. Il a été construit par M. Forner, le plan s’inspire du Faering de Gokstad exposé au musée de Roskild, petite barque viking similaire à celle découverte à Locmaria ».
Ouest-France 12/10/2009
Vikings. Dagmar, Ragnar, Freya, onze siècles après
L’arrivée de cette escadre pacifique a été saluée par un public bon enfant et par les amis groisillons venus à leur rencontre à bord d’une petite annexe de drakkar. Le dreki arborait une tête de dragon, l’équipage était vêtu de costumes d’époque.
Le Télégramme 12/10/2009
Vos commentaires
# Le 12 octobre 2009 à 10:51
Au chef Sibbi !!!
« Caché gÎt celui-là – la plupart le savent –
Qu’accompagnaient les plus grands exploits.
L’arbre de la « thrudr » du combat (le guerrier)
Sous ce tertre.
Jamais, plus loyal dieu martial
Du sol puissant du roi de mer (du guerrier)
Ne gouverna le territoire des Danes. »
Epitaphe de la pierre de Karlevi (Suède, X° siècle)
Extrait des « Vikings » de Régis Boyer.
Un « bondi ».
# Le 12 octobre 2009 à 11:16, par Anita
Oh, cousin "puits de science" peux-tu me dire comment on nomme la femme "bondi", tout aussi libre que son paysan-pêcheur de mari ?
AM
# Le 12 octobre 2009 à 12:13
Désolé cousine d’assombrir votre joie et l’enthousiasme déclenché par le retour de nos lointains ancêtres.
En islandais moderne (langue la plus proche de celle des vikings) l’épouse se dit « eiginkon ».
Son statut social n’est guère enviable même si elle porte le « pantalon » quand son mari est parti en raid. La femme du bondi ne possède ni droits juridiques ni politiques, elle ne peut « ester », (poursuivre en justice). Elle n’hérite pas, sauf dans certaines régions du Danemark où elle à le droit à la moitié de la part que reçoit son frère. Les filles portent le nom du père auquel on rattache le suffixe « dottir », proche du daughter anglais.
C’est en fait, une esclave domestique qui est achetée « bruthkaup » à son père, son accord n’est pas toujours requis. Elle est tenu d’apporter une dot « heimanfylgia » que contrebalancera le douaire « mundr » fourni par l’époux qui restera sa propriété à elle.
Tout ceci est très bien décrit dans l’ouvrage de Régis Boyer, de la page 267 à la page 278.
# Le 13 octobre 2009 à 18:32, par yvon
Bjr
La compagnie Océane avancerait elle masquée pour faire les essais de nouveaux bateaux pour pouvoir accoster à Port-Tudy dans les mois qui viennent ?
Slt à tous
# Le 19 novembre 2009 à 14:14, par Anita
http://www.youtube.com/watch?v=GV65TRBkBaY
(en provenance du "bateau ivre" (?) )