"Mona" a 26 ans et cinq ans d’expérience d’aide-soignante derrière elle.
« Je ne veux plus exercer ce métier que j’adorais. C’est fini, je ne remettrai pas la blouse. »
« On a vécu quinze jours de folie en octobre-novembre, au moment de la 2e vague. J’ai vu des soignants plus expérimentés qui pleuraient avec moi… » Mona a éprouvé le besoin d’exprimer son ressenti sur son compte Instagram. « J’ai eu beaucoup de retours, de soignants notamment, rapporte la jeune femme. Là, je me suis dit : ce n’est pas de ma faute, c’est le système qui ne va pas bien. La crise sanitaire a accentué le malaise de l’hôpital public. Il faut plus de bras, de moyens, de lits. »
C JAOUEN. Ouest-France 02/05/21
Commentaires :
1. vendredi 7 mai 2021 à 08:412021-05-07T06:41:59Z, par Valérie
L’AS ne veut plus remettre sa blouse
Bonjour
Sans compter les disfonctionnement s !!!! J ai été moi-même attrapée par la covid sur mon lieu de travail en ehpad le 18 février et e ce jour après 55 jours d’arrêt aucune indemnité journalière versée et comble du comble les jours de carence seront appliqués car déclaration covid non faite sur internet malgré le fait d’avoir eu au téléphone pendant plusieurs jours la Cpam.
On a beau aimer son travail à un moment ...!!!!!!
2. vendredi 7 mai 2021 à 10:042021-05-07T08:04:29Z
L’AS ne veut plus remettre sa blouse
Le cas type d’une maladie qui devrait DANS TOUS LES CAS DE CE GENRE être classée "professionnelle", être déclarée et accompagnée par l’établissement et qui, à mon avis, bénéficierait de l’assistance d’un syndicat (non collabo, de préférence....)
AM