Premier bilan de l’édition 2006 du Fifig

Les premiers éléments analysés( fréquentation des salles d’une part, restauration-bar d’autre part) sont très satisfaisants. Ces deux postes représentent ensemble 25 à 30% des recettes du Festival.

La fréquentation des salles est en augmentation importante par rapport à 2005(+35%). Cela découle de la qualité et de la richesse de la programmation ainsi que de l’augmentation de la capacité d’accueil et du confort des salles. En effet, grâce à l’action de la Communauté d’Agglomération de
Lorient , propriétaire du site de Port Lay) et au travail important des bénévoles, il a été possible d’équiper, à demeure, une vraie salle de 99 places, et une autre de 50( extensible à 99). La baisse des tarifs en faveur des publics aux ressources limitées participe aussi de ce succès

Les objectifs de recette brute de la restauration et des bars, très ambitieux ont été presque atteints grâce au dynamisme et au professionnalisme des bénévoles en charge de ces activités.

Depuis le Festival, le site continue de vivre : il est utilisé par plusieurs associations groisillonnes et de nombreuses actions vont s’y réaliser pendant l’hiver.

Une réunion avec Cap L’Orient a déjà posé quelques jalons pour développer des projets tournés vers le monde de l’image, en relation avec le Pôle Image.

Bref, des projets plein la tête, mais surtout, l’exportation du Festival à Madagascar, comme l’an passé au Cap Vert. C’est une réalité, Yann Stéphant, Jean Luc Blain et Claude Leloche sont à Madagascar. Gageons qu’ils y feront rêver les villageois et nous rapporteront de belles images. Car, le Festival ce n’est pas 5 jours dans l’année, mais un vrai travail sur l’image, sur l’insularité, et une réelle collaboration entre îliens.

L’équipe de responsables du Festival.