Festival du Film Insulaire (2002-2008)

« La mémoire perdue de l’île de Pâques » (Pacifique), « Les oubliés de Saint-Paul » (Océan indien), « Gaby de Foccola » (Nouvelle Calédonie)...
Durant l’hiver, le Festival du film insulaire propose une fois par mois une projection de documentaires souvent primés lors des éditions précédentes.
(...)
© Le Télégramme 01/03/2004

Vendredi, en soirée, le festival du film insulaire projette trois
documentaires présentés lors du festival en 2002 et 2003.
« Ibrahim au mois d’août », de Luc de Saint-Sernin ; « Les oubliés de Saint-Paul », de Jean-François Pahun et « Petite », de Frédéric Kuhn.
Participation : 3 ?.
© Le Télégramme 11/02/2004

Le 13 Février à 20 h. 30 à l’Esméralda
Projection par le FIFIG de :
Ibrahim au mois d’Août de Luc de Saint Sernin (26mn)
Les oubliés de St Paul de J-F Pahun (26 mn)
Petite de Frédéric Kuhn (17 mn)
Tarif unique : 3 €
AM

Le 23 Janvier 2004 à 20H30 A L’Esméralda
Le Festival International du Film Insulaire a le plaisir de vous proposer une soirée - projection de documentaires insulaires :
La mémoire perdue de l’île de Pâques de Thierry Ragobert ( 56’ ) ( Prix du Public en 2002)
Le cyclope de la mer de Philippe Julien (40’) (Film d’animation & making of)
Tarif unique : 3 Euros
Résumés :
La mémoire perdue de l’île de Pâques de T. Ragobert
Située à 4000 kms de Tahiti et 3 600 kms du Chili, l’île (…)

Durant le Festival du film, un public passionné se réunissait en fin
d’après-midi dans la belle salle de l’Esméralda, pour participer aux débats
animés par Alain Monnier dans le rôle du Modérateur.
« La Réunion, Maurice :
deux îles sours ? », « Insularité et nouvelles technologies de
communication », « Jeunesse insulaire... » furent les trois thèmes abordés
en présence d’un public toujours nombreux et d’intervenants de qualité, dont
certains étaient originaires de l’île Maurice ou (…)

Annie, Mylène, Yannick sont de jeunes retraités... qui ont quitté l’école il
y a quelques mois. Assistés de Martine, ils ont animé, bénévolement, les
ateliers de L’île des enfants, durant les trois jours du Festival.
« C’était passionnant, on associait les activités artistiques (réalisation
d’une fresque, collage de sables, aquarelle...), la lecture de contes ou de
scénarios de films et la projection de documentaires ou de petites
fictions », dit Yannick, dont les talents de conteur (…)

C’est le « soulagement » pour l’ancien de La Royale, Gilbert Nexer,
président du Fifig. Samedi, pour la traditionnelle soirée en plein air sur
le sable blondinet de la plage de Locmaria, c’était « l’équipage de la
Flotte. »
On en rigole au lendemain de la soirée annulée à cause du déluge
venu des cieux. « On s’est décarcassé, des spectateurs nous ont même prêté
main-forte. On a tout déménagé en deux temps trois mouvements (pas plus
d’une heure trente)
(...)
– Ouest france du (…)

Clap de fin sur le festival du film insulaire de l’île de Groix. Premier
prix à Stéphane Breton, pour son film « Eux et moi », et prix du public à
Marie Binet pour son film « Noir comment ».
Satisfaction du côté des organisateurs du festival du film insulaire de
l’île de Groix. La troisième édition croise un succès public et 11.000
entrées payantes, avec un équilibre budgétaire recouvré.
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© Le Télégramme 01/09/2003

Un peu plus de 11.000 entrées payantes, un équilibre financier retrouvé, un
palmarès exotiqu : les organisateurs du festival affichaient hier une
satisfaction non dissimulée.
« Pari réussi, beaucoup de professionnalisme, ambiance conviviale... » Eric
Régénermel, maire de Groix n’avait plus de mots hier pour qualifier le
succès de cette troisième édition.
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© Le Télégramme 01/09/2003

La troisième édition du Festival international du film insulaire de l’île de
Groix a baissé le rideau hier soir, avec la proclamation du palmarès.
Le
premier prix a été décerné à Stéphane Breton, pour son film « Eux et moi »
tourné en Papouasie occidentale. Le prix du public revient à Marie Binet
pour son film « Noir comment », sur l’identité et le métissage.
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© Le Télégramme 01/09/2003