Festival du Film Insulaire (2002-2008)

Il prend la présidence du festival en 2003, alors que le Fifig connaît une période de turbulence. Il s’appuie sur le dynamisme de Jean-Luc Blain en qui il reconnaît un « Premier de cordée » et, grâce à ses talents de médiateur, arrive à fédérer les énergies.
Le Télégramme 28/08/2006

Triste dénouement pour les bénévoles. Les chambres de vingt d’entre eux ont été fouillées par des individus. Le préjudice est lourd, puisque des caméras, des ordinateurs et des téléphones portables ont notamment été subtilisés. Une automobile a également été volée sur le parking.
Le Télégramme 28/08/2006

« La course est née à La Rochelle où il y a le quartier grek », poursuit Patrick Schnepp. D’où le nom du défi et le fait qu’il ait lieu à Groix. C’est aussi une histoire d’amitié entre lui et Jean-Luc Blain qui a permis d’intégrer ce challenge au Festival insulaire.
Ouest-France 28/08/2006

Relation de cause à effet ??

Le débat "Mers empoisonnées" a été annulé !!!

Raison invoquée officiellement : pas de scientifique présent.
Comme cet état de fait était connu avant le samedi, on est en droit de se
demander s’il n’aurait pas été plus judicieux de trouver un autre prétexte.
Et ceci d’autant plus que certaines personnes, qui s’étaient spécialement
déplacées en manquant un des films majeurs de la sélection, proposaient de débattre malgré tout.
Mais la politique a des raisons que la raison ignore, c’est bien connu...

Et ma raison n’avait pas fini d’être ignorante...

Ile d’or : Soufre. Réalisation : Florian Geyer Le Kawah Ijen ("cratère vert"), volcan actif de Java, abrite le plus grand lac d’acide du monde. Depuis 1968, de véritables « forçats du soufre » travaillent dans des conditions insoutenables.
Ile d’argent : Hors les murs. Réalisation : Alexandre Leborgne et Pierre Barougier Système carcéral unique au monde, fondé il y a plus d’un siècle aux Philipinnes, Iwahig nous ouvre des horizons.
Prix Kimitété : The good, the bad, and the interesting. (…)

Mme Paes est plutôt du genre modeste. « Marie-Clémence est quelqu’un de simple, de bien. Elle a un vrai regard, une vraie sensibilité sur le cinéma ». A travers cet hommage, Jean-Luc Blain, directeur du festival, justifie le statut de la Franco-Malgache.
Donatien Huet Le Télégramme 27/8/2006

Madagascar est le pays invité du sixième Festival international du film insulaire de Groix, qui s’achève aujourd’hui. A cette occasion, JP Razafy-Andriamihaingo, l’ambassadeur malgache, s’est rendu sur place, hier, en compagnie de J-Y Le Drian, président du conseil régional.
Donatien Huet Le Télégramme 27/8/2006

Le Festival est bien rôdé et lorsqu’une pluie intempestive ne perturbe pas son déroulement, tout paraît classique.

Les Festivaliers festivalent qui, dans les salles, hier bien remplies, qui en admirant les animations extérieures et, pour les bénévoles, les alternances de coup de feu et de repos. A ce propos, encore un coup de chapeau à ceux de la cuisine toujours sur le pont avec efficacité et bonne humeur, et c’est peu de le dire, sous la haute main du chef Guéna et la houlette de la "bosquette" Choune.

Les questions posées ici et là sur les films vus et appréciés montrent aussi la diversité des goûts des cinéphiles. C’est sans surprise qu’on se voit confirmer les choix des "classiques" qui vont voir les documentaires les moins "exotiques". Man of Aran a ainsi reçu les suffrages de nombreux Groisillons.

L’un d’entre eux, pêcheur, me disait faire sa sélection avec parcimonie car être enfermé dans une salle obscure lui est très pénible.
Le Cinéma des Familles aura reçu lui en soirée les spectateurs attentifs aux remous du monde attirés par la situation politique et sociale de "Mada".

Une programmation de qualité, des invités exceptionnels et des débats pertinents : d’années en années, le Festival international du film insulaire de Groix se forge une sacrée réputation. Les réalisateurs des documentaires en compétition ne sont pas étrangers à ce succès d’estime.
Le Télégramme 26/08/2006

Autoproduit, « car il est difficile de vendre un film sur un alcoolique à une boîte de production », « The good, the bad and the interesting » est la première réalisation de Nicolas Frank, : « Le fait d’être chouchouté alors que j’ai autoproduit mon film, c’est génial ! »
Le Télégramme 26/08/2006