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Dragage de l’arsenal : les boues à Hennebont
dimanche 6 mars 2005, par
Pour Gérard Perron , il ne faut pas faire supporter une charge économiquement trop lourde à DCN pour le traitement de ces sédiments toxiques extraits du lit du Scorff.
« Dans la situation économique actuelle, on ne peut pas faire la fine bouche », ajoute-t-il.
Yves Guégan Le Télégramme 05/03/2005
Commentaires
1. > Dragage de l’arsenal : les boues à Hennebont, 6 mars 2005, 10:32
Toujours à la pointe du progrès le communiste...Il est vrai qu’à l’âge moyen de ses électeurs, on n’a plus à se soucier de pollution :))
AM