Michèle Perrein, cette grande bourgeoise, n’y allait pas non plus avec le dos de la cuiller en 1984, pour défendre le bassin d’Arcachon dans son beau roman "Les cotonniers de Bassalane".
"C’est ce qu’ils nous laissent les touristes, LE VENT. A eux l’été des cartes postales, à nous, l’hiver et les tempêtes. S’il faisait beau 365 jours par an, nous ne serions plus que leurs domestiques".
Commentaires :
1. dimanche 8 janvier 2023 à 13:102023-01-08T12:10:50Z, par sans queue, ni tête
Une vraie leçon de "démarketing" !
Daaaaallle, kokerikero ! même domestiqués, aliénés, smicardises, minorisés ..rien ne nous obligent a raser les murs....atao da virviken !