"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

Se réunir vite

3 commentaires

La gauche toute mouillée pèse aujourd’hui 30 % et le paysage politique français est tripolaire. Le principe de désistement républicain doit donc se faire avant le premier tour. C’est, dès lors, une affaire d’appareil. Mais c’est essentiel si la gauche ne veut pas disparaître et, même, empêcher l’extrême droite d’arriver au pouvoir. Il faut pour cela un grand sens des responsabilités

Thomas Legrand Libération 10/06/24


Vos commentaires

  • Le 10 juin à 11:01, par Anita

    recommandation valable pour l’immédiat mais aussi et surtout ici pour les municipales. Que tout ce qui grenouille actuellement autour de cette échéance n’oublie pas que des listes soit-disant "apolitiques" cachent en leur sein ces militants de la peste brune qui s’apprêtent à nous pourrir la vie (à un point tel que certains mous du genou pourraient en être amenés à regretter les amis de Macron !)

  • Le 11 juin à 12:50, par m.Anne

    L’union, oui.

    Mettre son poing dans sa poche, oui.

    Mais bouffer son chapeau, non (au passage, j’espère que le nom de Laurent Berger vomi par Glucksmann était juste une bonne blague, sinon ça démarre mal).

    Où l’on peut aussi mesurer toute l’artificialité des motifs de rupture de la nupes par certains des appareils à gauche : ce qui était inconcevable hier au nom de l’éthique républicaine devient désirable au nom d’une l’urgence qu’ils font semblant aujourd’hui de découvrir.

    Mais bon… 40 % d’électeurs ne se prononcent pas pour quelque chose mais contre quelqu’un, contre les millions d’habitant.es de ce pays dont les ancêtres sont nés ailleurs, alors il faut bien composer, oui.

    Mais SURTOUT, que l’usurpateur Glucksmann ferme sa gueule (ou que Faure lui fasse fermer sa gueule) et qu’il boucle ses valoches pour Bruxelles (où 9 fois sur 10 il vote comme les macronistes).

    Se revendiquer première force de gauche en ayant été élu par les CSP+ et ++, et par des dégoutés du macronisme, dans un scrutin européen qui n’a absolument rien à voir de mille façons avec des législatives, et poser ses conditions pour la suite montre à quel point l’attelage est quand même déjà bien mal engagé.

  • Le 12 juin à 08:46, par Olivier Le Rameau

    “Mais bon… 40 % d’électeurs ne se prononcent pas pour quelque chose mais contre quelqu’un”

    Doit bien y en avoir, des vrais de vrai...

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