Paroles... Ecrits..., de Jo Gallo
Publié le 30 juillet 2009 à 10:58Message à l’attention des persécutrices de « l’oiseau marin rieur », entouré de ses feudataires en jupons.
Ô, grande historienne de Port-Blavet, les longues périodes crépusculaires relatives à vos exploits passés sur la presqu’île, paraissent avoir exacerbé votre acrimonie congénitale.
Ô, rameuse concarnoise aux relents d’Euskadi, inspiratrice de la précédente, vos vingt années passées en gesticulations dans les coursives de l’ancienne usine « Gaudin-Dandicole, les week-ends continentaux, les rencontres inopinées à l’aéroport de Quimper-Cornouaille, semblent avoir altéré votre conscience au point d’en oublier le « devoir de réserve », inhérent à votre fonction, décidément fragilisée en cette période de crise.
Quoi qu’il en soit, l’équipage du « Paroles de Groisillons » vous remercie chaleureusement pour votre campagne promotionnelle inestimable, bien utile pour collecter les droits d’auteurs qui sont offerts par toute l’équipe à la réfection et l’entretien des chapelles et église de l’île de Groix.
« Et met ça sur ton pain ! ! ! » (phrase typique de groisillon maritime, fréquemment entendue sur le pont des navires de l’île au XX° siècle).
Jo Gallo, modeste chroniqueur local (mais agacé), « vainqueur des jaloux ».
Commentaires :
31 juillet 2009, 00:07
à‡a chauffe dans la salle des machines.
Cela chuchote dans les chaumes
Tout in situ, du genre : t’as pas su ?
Les coursives sont de chevilles
A la vigie, l’exclu braille l’écueil
A la timonerie tout est en braille
J’ai demandé au cri-cri ce qu’il en savait
Il ma dit qu’il anime en magnanime.
Mais en susurre de source à rajouter :
La chèvre me broute mon aire
Et le loup lui guette la chèvre..
Foudebassan
31 juillet 2009, 21:07
Ce siècle avait neuf ans ! Le Palais Brongniart remplaçait Le Palais Bourbon,
Déjà Nicolas perçait sous Sarkozi,
Et du président, déjà , par maint endroit,
Le front du tyran brisait le masque étroit.
Alors dans Groix, vieille Île bretonne ,
Jeté comme la graine au gré de l’air qui vole,
Naquit d’un sang breton et français à la fois
Une idée sans couleur, sans vision et sans voix ;
Si débile qu’elle fut, ainsi qu’une chimère
Abandonnée de tous, excepté de son père,
Et que son cou ployé comme un frêle roseau
Fit faire en même temps sa bière et son berceau
Cette idée que la vie effaçait de son livre,
Et qui n’avait pas même un lendemain à vivre,
C’est nous.
Milka Hugo
padawan en foudebassanerie
1er août 2009, 10:30
tiens, le laïus toxique a quitté la première page du blog soutien de l’opposition (comme la corde soutient le pendu ?) et a rejoint une place discrète dans les archives...
Pas grave, la publicité a fait son oeuvre et les libraires ont tous épuisé leur premier stock. Heureusement que "le petit historien local" avait prévu cet engouement : les rayons ont été regarnis :-)
Vous pouvez donc vous ruer sur les exemplaires à faire dédicacer.
Je viens de recevoir le mien des mains de mon cousin "l’historien" et, malgré le peu de connaissances datées que m’a laissé ma famille sur le sujet*, je vais essayer de me faire une idée sur les raisons qui poussent à ne traiter qu’une partie de l’histoire de cette période en espérant que d’autres "historiens locaux" complètent le travail.
AM
Je continue à ressasser sans relâche qu’il faut ne pas laisser tomber dans l’oubli les réfractaires au STO alors que ceux qui l’ont accepté s’en glorifient presque !
1er août 2009, 12:33
vendredi 31 juillet 2009 à 23:01,
Ecrits sur des paroles.
faire gaffe au padawan, il progresse ...
dans le plagiat ... serait-ce contagieux ?
AM
2 août 2009, 02:40
Les commentaires fielleux du duo réactionnaire ont dans un premier temps gagné la page d’archives à Groix (assez loin dans l’ordre chronologique) mais ce soir : fini :
ils ont disparu ... Ne vous gênez pas si vous en avez besoin ... j’ai la copie ...
AM
12 septembre 2009, 16:09
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article90949
Les mauvaises affaires du notariat : des "situations déontologiques douteuses"
Les notaires ont du mal à faire le ménage chez eux.
tant que leurs client ne s’en mêlent pas ...
AM