Le ministre de l’éducation, qui a autant le souci des enfants que son patron celui des ouvriers, a décidé de laisser le choix de revenir à la semaine de 4 jours et de supprimer Les Temps d’Activités Périscolaires.

Bingo, les enseignants se sont engouffrés dans la brèche, à commencer par ceux de l’école catholique qui, cet hiver, refusaient déjà les TAP en commun.

Les enfants dont les parents ne peuvent assurer le financement d’activités d’éveil seront les premiers pénalisés, tout comme ceux qui, également faute de moyens, ne pourront fréquenter le Centre de Loisirs le mercredi. On verra une fois de plus certains de ces enfants livrés à eux-mêmes ou plantés devant des hanounaneries. Et dans dix ans, on pleurera sur les dégâts qu’ils occasionneront, faute d’apprentissage de saines occupations collectives.