JY Le Drian n’a pas été tendre avec Ronan Loas, lui aussi, se réclamant de la majorité présidentielle. Ronan Loas met les pendules à son heure. « Mon adversaire, c’est Damien Girard le candidat de Jean-Luc Mélenchon, le candidat de l’extrême gauche. Qui croit une seconde que je ne pourrais pas rejoindre le groupe politique à l’assemblée ? Certains l’ont fait avant moi, en 2017 déjà… »
C JOSSE Ouest-France . 02/06/22
Commentaires :
1. vendredi 3 juin 2022 à 09:252022-06-03T07:25:35Z, par Anita
Loas retoque Le Drian
R Loas semble avoir quelques carences en connaissance de l’échiquer politique. Je ne ferai pas l’affront à mes visiteurs de leur citer les mouvements d’EXTREME GAUCHE car eux savent que Mélenchon ne s’y situent pas. Même les journalistes politiques à la botte du pouvoir le logent, et c’est déjà trop, à la "gauche extrême".
2. vendredi 3 juin 2022 à 22:542022-06-03T20:54:36Z, par vincent
Loas retoque Le Drian
Pas mieux.
Je rajouterai que Damien Girard n’est pas « le candidat de Jean-Luc Mélenchon », encore moins un candidat LFI (idem pour sa suppléante).
Tous deux ont été investis candidats de la Nupes.
Et effectivement, le programme de la Nupes est bien loin d’être « d’extrême-gauche » , puisqu’il assure la permanence du capitalisme, mais en prônant une redistribution moins injuste des richesses.
Et si on a la curiosité de comparer le programme Nupes aux précédents programmes de la gauche (81, 97 et même 72), on s’aperçoit tout de suite qu’il est de très loin le moins radical, le moins "extrême".
On me dit que les chars soviétiques ne bougeront finalement pas du Musée de la Grande Guerre patriotique de Moscou.
Mais si Ronan Loas a certes des carences en positionnements politiques , il les compense avantageusement en expertise géo-militaro-politique.
Lui sait qu’en un peu plus d’un mois les T-72 sont capables de quitter Louhansk pour rejoindre Louis Vuitton Maison Champs-Élysées...