Le Festival de (presque) toutes les réussites
QUATRE - La presse
Tout un chacun a été surpris par la qualité de la couverture du Télégramme, partenaire commercial de cette édition.
(Sylvain se remettra vite des à peu-près écrits sur sa biographie :-) )
A ce sujet, il est utile de préciser que les deux journaux locaux se font concurrence et que donc, si l’un obtient le marché (ou le refuse obstinément) il ne peut en rester qu’un en pôle position ce que le non désigné (par choix ou par conséquence) ne peut qu’entériner, fut-ce au détriment de ses lecteurs habituels. Combien de réflexions n’a t-on pas entendues sur l’absence de couverture par Ouest-France !!
Au plan national, on nous a aussi fait remarquer qu’il est plus facile de trouver à Paris une édition de OF que de son concurrent.
J’en arrive à un des "presque" que j’évoque dans mes titres successifs : la couverture par les journaux nationaux n’a pas été déplorable : elle a été inexistante ! Lors des AG précédant l’édition 2012, il me semblait pourtant avoir entendu qu’une personne était recrutée pour la programmation musicale et la communication.
Ben là, c’est foiré sur toute la ligne : j’ai trouvé 4 lignes dans Télérama, un point c’est tout !
Côté positif de la chose : ça a fait moins de boulot à celui qui s’est retrouvé chargé de la revue de presse, en catastrophe et dans l’urgence !