Accueil > La politique du caniveau
La politique du caniveau
4 commentaires
Le très bon Morel à écouter en se rappelant qu’un Groisillon, membre des "Contribuables associés", ce repaire Front National, a lancé dans la fange la campagne des municipales. Ne comptez pas sur moi pour vous donner le lien, j’aurais peur de salir mon clavier !
Vos commentaires
# Le 22 septembre 2013 à 10:18, par chris
Le très bon Morel, il ne faut pas être difficile, j’ai trouvé ça plutôt nul, j’ai stoppé avant de comprendre où il voulait en venir, tant il est saoulant .
# Le 22 septembre 2013 à 10:22, par Anita
je fais encore une exception : je valide bien que ne connaissant pas le pseudo du signataire.
Mais son commentaire illustre tellement bien la profondeur de la réflexion des suiveurs de Loups ....
AM
# Le 22 septembre 2013 à 12:35, par jacky Morel
Je suis entièrement d’accord avec toi Anita, cela commence à sentir mauvais.
Magnifique texte de François Morel, dommage qu’il ne soit pas de ma famille.
Jacky Morel
# Le 22 septembre 2013 à 13:31, par Anita
Badinter sur la progression de l’ignorance crasse.
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_robert-badinter-le-retour-de-la-peine-de-mort-en-europe-impossible?id=8094903
"Le retour de la peine de mort ? Impossible. Ceux qui l’évoquent exploitent les peurs avec démagogie, pour faire des voix"
"Si vous parlez du retour de la peine de mort en Europe, c’est encore une fois l’exploitation démagogique de l’impossible. L’Europe est tout entière réunie sous le signe de l’abolition. Alors dire qu’on va rétablir la peine de mort c’est dire ’ah et bien on va rétablir la monarchie absolue’. On peut toujours dire des sottises, mais quand on sait qu’on exploite ce faisant des passions qui, elles, sont éternelles, l’homme est un animal qui tue, voilà , je ne suis pas optimiste sur l’être humain, j’ai trop vu ce qu’il est capable de faire. Quand on exploite ces passions-là , cet instinct de mort à des fins, quoi ? De succès électoral ? D’avoir plus de voix ? De travailler sur l’irrationnel et la peur chez les êtres humains sachant que la peine de mort n’est pas la réponse, qu’elle ne l’a jamais été et que partout où on l’a abolie, partout, il n’y a pas eu de hausse de la criminalité sanglante et souvent même une régression. Alors je dis que c’est de la démagogie à l’état pur. Ceux qui font ça mentent et ils mentent parce qu’ils jouent sur cette peur, qui est inscrite dans chaque être humain, de la mort, la mort qu’on lui donne avec la pulsion de mort ensuite au nom de la justice qu’on donne à l’autre".