.../... On note une hausse de l’alcoolisation ponctuelle excessive (API), que les Anglo-Saxons qualifient de « Binge Drinking ». Et là, la Bretagne n’est pas épargnée. 21,6 % des habitants de la région déclarent avoir des API, 22,6 % en Pays de la Loire, pour une moyenne nationale de 16,5 %.
Quelles sont les raisons de cette hausse ? - On la voit plus particulièrement chez les femmes. Elle s’inscrit dans une évolution des mentalités et de l’acceptation de la consommation de ces dernières. Dans l’intégration des femmes dans le marché du travail, des études, etc. Elle va beaucoup toucher les jeunes, aussi.
Si on reprend la Bretagne, c’est une région dynamique, avec des centres universitaires important. Et il y a aussi les traditions.

É BENECH. Ouest-France 10/02/24