"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

H. Leclerc, président de la LDH

3 commentaires

"Aujourd’hui dans les universités, nous sommes en face d’un mouvement du coeur.

Les femmes, les enfants, les viols, et la prise d’otages, c’est insupportable. Certains disent, le 7 octobre c’était une rétorsion. Mais la réponse qui est donnée est quelque chose d’effroyable, ces populations civiles massacrées, cette aide alimentaire qui n’arrive pas. Nous avons actuellement un massacre. Alors, la Cour pénale internationale a envisagé le fait qu’il y avait des menaces de génocide. Ce qui se passe, c’est terrible.

Est-ce que le chiffre donné par le Hamas de 40 000 morts est exact ? C’est vraisemblable, compte tenu de ce qu’on voit. Il se passe là quelque chose d’horrible. Toujours la population étudiante a manifesté des élans du cœur, et toujours pour ceux qui sont écrasés, rarement pour les autoritaires."

France Inter 3/5/24


Vos commentaires

  • Le 3 mai à 23:10, par m.Anne

    ll est grand-guignolesque d’écouter parler « d’otages » au sujet des militaires, des para-militaires et des miliciens de l’entité sioniste détenus par le Hamas, qui sont des prisonniers selon le Droit international, et que la Résistance est en droit de garder jusqu’à un accord de paix.

    Et il est tout aussi extravagant de parler de "prisonniers" au sujet des civils palestiniens kidnappés par Tsahal qui sont, eux, véritablement des otages.

    La presse reprend simplement la com de l’entité génocidaire. On s’y est tellement habitué que c’est devenu un standard pour tout le monde.

    m.Anne

  • Le 4 mai à 07:37, par Anita

    prendre pour des para-militaires, miliciens etc les enfants otages du Hamas (et les jeunes de la fête) c’est peut-être un "tout petit peu" exagéré non ?

  • Le 4 mai à 13:29, par m.Anne

    Je parle uniquement des militaires, para-militaires et miliciens encore retenus, et dont le statut soldatesque est bizarrement « oublié » par toute la presse.

    Concernant les civils, dont il ne reste aux mains du Hamas qu’une minuscule minorité (source Tsedek ! , collectif de juifs anti-apartheid qui prend le risque de ne pas perroqueter la propagande sioniste), peut-être peut-on parler de « dommages collatéraux » comme le font si bien Meyer Habib, Caroline Fourest, Raphaël Enthoven et consorts pour les quelques 35.000 palestiniens décimés, essentiellement femmes et enfants ?

    m.Anne

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