"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

jeudi 22 août 2019

FIFIG 2019

CINEMA DES FAMILLES

- 10h00 : En compétition, "I watched the white dogs of the dawn", documentaire de Els Dietvorst - Belgique - 2018 - 52 mn.
Un petit port irlandais sur la côte sud-est de l’île nous apparaît tout droit sorti d’un rêve étrange, brumeux, où seul le bruit de la mer vient troubler le mutisme apparent de ses habitants... jusqu’à ce que la parole jaillisse, sans s’arrêter, pour nous raconter des histoires de fantômes, de mer, de pêche, de fratrie. Car ici, à Kilmore Quay, depuis des générations, on pêche le homard, les huîtres et la morue. Un travail longtemps considéré comme une forme de prière, respectueux de la mer, où n’était prélevé que ce qu’il fallait pour survivre. Il y avait de l’argent et du travail pour tous, jusqu’à l’arrivée des quotas de pêche européens.
En présence de la réalisatrice

- 11h40 : En compétition, "Nofinofy", documentaire de Michaël Andrianaly - France, Madagascar - 2019 - 73 mn.
Lorsque son salon de coiffure est détruit par la municipalité, Roméo doit quitter la grand-rue de Tamatave pour les quartiers populaires. Il s’installe alors dans une petite cabane de fortune, mais rêve de pouvoir un jour se construire un salon « en dur ».
En attendant, ce minuscule espace ouvert sur la rue se fait l’écho du dehors, des nouvelles du jour, des espoirs et des colères de chacun, dans un pays, Madagascar, où règnent pauvreté et corruption.

En présence du réalisateur

- 14h30 : En compétition, "En face", documentaire réalisé par Collectif Cinemakhia - France, Grèce - 2019 - 60 mn.
L’île grecque de Lesbos est séparée de la Turquie par un bras de la mer Egée. Chaque jour, des milliers d’exilés débarquent et marchent jusqu’au village de Kleio, première étape de leur périple européen. Cet afflux massif a scindé l’île en deux : d’un côté, ceux qui rejettent les réfugiés, « ceux d’en face », et de l’autre, celles et ceux qui ouvrent leur table, distribuent des vêtements, dénoncent l’île « prison d’âmes ». Reste une catastrophe écologique majeure avec ces gilets de sauvetage épars, ces moteurs polluant les fonds, ces canots pneumatiques sur les berges.

Ecrit et réalisé par le collectif franco-grec Cinemakhia, ce film nous offre un nouveau point de vue et pose la question de l’accueil, de ses stigmates et de ses conséquences.

En présence des réalisateurs Eden Shavit et Melissa Vassilakis, membres du collectif Cinemakhia

- 16h15 : En compétition, "Brise-lames", documentaire de Hélène Robert et Jérémy Perrin - France - 2019 - 68 mn.
Au Japon, après le tsunami sans précédent de 2011 qui fit vingt mille morts et laissa une terre dévastée, les disparus reviennent des profondeurs de la mer pour hanter les vivants.
Alors que se dresse un mur brise-lames titanesque, des histoires de fantômes se propagent le long de la côte japonaise. Le paysage de la reconstruction devient ce monde intermédiaire où le visible et l’invisible se confondent.

En présence des réalisateurs

- 18h15 : "Buscando a isla de Pascua la pelicula perdida" documentaire de Carmen Brito - Chili - 2014 - 59 mn.
En 1961, les réalisateurs chiliens Jorge Di Lauro et Nieves Yankovich tournent le film Isla de Pascua, projeté pour la première fois en 1964. Les pellicules disparaissent au début des années 1970 et le film se perd. Dans les années 2000, une partie des pellicules est retrouvée et le film est remonté.
Basé sur les interviews de cinéastes, de spécialistes du cinéma et d’habitants rapanuis filmés en 1961 qui découvrent le film pour la première fois, ce documentaire dévoile une période post-coloniale très importante de l’histoire de l’île où les Rapanuis retrouvent une autonomie et une liberté, à la recherche de leur culture et de leurs traditions quasiment disparues.

En présence de la réalisatrice et de Leonardo Pakarati, assistant de production du film à Rapa Nui.

- 20h45 : "... Yde pronto el Amanecer" de Silvio Caiozzi - Chili - 2017 - 195 mn.
Pancho Veloso, un célèbre écrivain retourne dans son village d’enfance au fond du sud chilien après l’avoir fui quarante-cinq ans plus tôt pour sauver sa vie.
Au milieu de la Patagonie, sur l’île de Chiloé où des arbres centenaires poussent sur les tombes, l’écrivain tente de composer des histoires sur ce bout du monde. Mais il sera rattrapé par ses vieux amis et devra faire face à son passé. Pour la première fois de sa vie, il écrira un roman dans lequel tous ses proches auront leur place et lui, celle d’un véritable artiste.


PORT LAY 1

- 10h00 : "El viento sabe que vuelvo a casa" de José Luis Torres Leiva - Chili - 2016 - 103 mn.
Le réalisateur chilien Ignacio Agüero part à la rencontre des habitants de l’île chilienne de Meulin pour préparer un scénario sur une rumeur locale : la disparition d’un jeune couple. Son ami, également réalisateur, José Luis Torres Leiva, décide de mettre ses pas dans les siens et nous livre un documentaire ethnographique en distillant, à travers les conversations éphémères, tout un mode de vie local.
En présence de Tiziana Panizza, assistante de direction de José Luis Torres Leiva (également réalisatrice de terra Sola)

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Une séance, deux films documentaires
De nouveaux spectateurs pourront rentrer pour le deuxième film seulement si des places se libèrent.

- 14h00 : "Le géographe et l’île", documentaire de Christine Bouteiller - France - 2018 - 71 mn.
A Iwaishima, une île en forme de coeur au sud du Japon, la population se bat depuis trente ans contre la construction d’une centrale nucléaire.
Le géographe français, Philippe Pelletier, explore ce minuscule laboratoire de réflexion environnementale et sociétale : « La géographie est un jeu d’échelle. Dans une seule petite île, on peut rencontrer tout le Japon ».

Quand les choix du monde alentour génèrent des conjonctures qui semblent inextricables, les petites îles ont-elles des réponses à nous apporter ?

ET

- 15h30 : "Zanaka Tany aux enfants de la terre", documentaire de Alexandre Poulteau - France - 2018 - 86 mn.
A Madagascar, face aux difficultés considérables que doit affronter une grande partie de la population, des hommes et des femmes s’interrogent et se lèvent pour combattre le fatalisme et la résignation au sein des leurs. Ils veulent puiser dans la culture ancestrale du pays pour renouer avec des formes de solidarité perdues et cherchent des solutions aux problèmes qui les affectent : extrême pauvreté, absence d’État-providence dans le domaine de la santé, de l’éducation...
La mobilisation collective, avant même de se confronter aux obstacles et pressions extérieures, doit pouvoir émerger. Il faut s’écouter, se faire confiance, s’unifier.

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17h45 : Une séance, deux films documentaires

- "La ultima barricada" de Verônica Qüense - Chili - 2017 - 62 mn.
Les rues de l’île de Chiloé brûlent de colère face au désastre environnemental provoqué par les élevages intensifs de saumon. Le modèle d’une économie extractiviste a conduit à l’empoisonnement de la mer et à une crise sociale dramatique. L’État n’apporte pas de solution à ce péril qu’il a contribué à provoquer.
La force du mouvement social est-elle capable de modifier la réalité environnementale dans laquelle vit le pays ?

ET

"Estado Salmonero" de Daniel Casado - Chili - 2019 - 24 mn.
La salmoniculture est la deuxième plus grande industrie du Chili, connu pour l’extraction massive et peu contrôlée de ses ressources. Malgré les manifestations des îliens chilotes en 2016, les entreprises de saumon continuent de s’étendre notamment dans le détroit de Magellan.
Ramôn Navarro, surfeur et activiste environnemental, expose les effets négatifs de cette activité sur l’écosystème et retrace les origines de cette industrie.
Ses pas l’amènent jusqu’au Japon qui a la plus grande consommation de saumon d’élevage chilien par habitant et où le poisson est l’aliment roi.


PORT LAY 2

- 10h00 : "Courts métrages - Fictions" En compétition - 117 mn (avec la pause).
Une pause de 15 minutes est prévue tous les jours après le deuxième court métrage.
Entrée dans la salle possible au moment de la pause en fonction des places disponibles.

- "Baba Sifon" En compétition, de Laurent Pantaléon - France - 2019 - 26 mn.
Erick, père de famille divorcé, s’aperçoit que sa fille Élisa, âgée de six ans, est repartie chez sa mère en oubliant son doudou, un « baba sifon » avec lequel elle passe beaucoup de temps. Il décide de traverser l’île en stop pour ramener le doudou à sa fille et cela avant que la nuit ne tombe.

- "A casa mia" En compétition, de Mario Piredda - Italie - 2016 - 19 mn.
Seuls habitants d’un village de pêcheurs déserté, Lucia et Peppino, deux personnes âgées, vivent dans l’espoir que l’hiver ne finira jamais.

- "La route du bout du monde" En compétition, de Lucile Prin et Anaïs Le Berre - Chili, France - 2015 - 13 mn.
Un photographe est envoyé en Patagonie pour faire un reportage sur des pêcheurs mais se trouve confronté à une région étrangement vide, qui le renvoie à ses propres questionnements. Sa rencontre avec un certain Carlos va bousculer son regard de photographe...

- "Doubout" En compétition, de Pierre Le Gall et Sarah Malléon - France - 2018 - 19 mn.
Joseph, huit ans, refuse d’accepter le départ de son grand frère pour la Métropole. Influencé par les histoires traditionnelles de son grand-père, il est persuadé que Lentikri, un monstre ancestral martiniquais, rôde autour de la maison et va attaquer sa famille.
Pour attirer l’attention de son frère, Joseph décide de l’affronter.

- "L’arbre et la pirogue" En compétition, de Sébastien Marques - France - 2018 - 25 mn.
En Nouvelle-Calédonie, la vie d’une tribu est perturbée par l’arrivée progressive de la modernité. Iabe, jeune kanak, voit d’un mauvais oeil ce changement et se perd entre les traditions de son peuple et les changements que subit son territoire.


DEBATS
A 17h20 - Hauts de Port Lay

Thème : Utopies insulaires : Les îliens prennent en main le futur de leur territoire..

Invités :
- Philippe Pelletier, géographe
- Christine Bouteiller, réalisatrice de Le Géographe et l’île
- Alexandre Poulteau, réalisateur naka Tany, aux enfants de la Terre


CONCERTS ET AUTRES

- 10h00 : Vernissage-balade des expositions
Rendez-vous devant le "Pub de la Jetée" à Port Tudy

- 12h00 : Ecran Total - De 12h à 14h, tous les jours, la parole est aux acteurs du cinéma documentaire, aux artistes et invités du festival. Une émission mixée avec une once de soleil sud-américain et une bonne dose d’accents chiliens.

Emission "Radio Balises" (99.8 FM)

- 15h00 : Sieste radiophonique
"L’Echo du caillou" - Armée de micros, une bande de radiophiles a arpenté Groix, dans le cadre d’un Kino Radio organisé par Radio Balises et le Fifig, pour vous livrer cette balade sonore

- 17h30 - Dans l’espace "Exposition" de Port Lay : Signature librairie
Luca Solari, photographe exposant, signera son ouvrage "La Forteresse" - Autoédité - 2018

- 19h00 : Sur la scène du Tiki
"La Petaquita" - (Bretagne/Chili) - Musique d’Amérique latine

- A l’Usine (Entrée 2 concerts - 5 €) :
- 21h30 : "I Nu" - (Nouvelle Calédonie) - Chants traditionnels de l’île de Lifou
- 23h00 : "DIA.T" - (Bretagne/Madagascar) - Chansons malgaches

Espaces Imprévus - Fanzinothèque et ateliers

Du jeudi 22 au samedi 24 août de 11h à 19h et le dimanche 25 de 11h à 17h
Pour la troisième année consécutive, Nicolas Ballais revient avec Espaces Imprévus pour élaborer le numéro 3 du désormais célèbre fanzine du festival, le Mi-Fifig Mi-Raisin ! Ce petit magazine auto-édité sera réalisé par qui souhaitera y participer : festivaliers, bénévoles, invités, organisateurs...
Pour se faire, un atelier de gravure sur plâtre et sur gomme est proposé à Port Lay.

Espaces Imprévus est un collectif qui défend la création libre, accessible et ouverte, et favorise les formes de partage, d’échange, de rencontre et de solidarité. Cette mlcro-maison d’édition autogérée publie qui souhaite s’exprimer par le support fanzine. Entre deux films, vous pourrez découvrir leur fanzinothèque, une collection d’éditions internationales à consulter. Bienvenue !

"Le Crieur" - "Compagnie Qui S’y Colle"


Du jeudi 22 au dimanche 25 août - En tout temps et en tous lieux
Avec son costume rayé et ses bretelles, le Crieur ne passe pas inaperçu. Il déambule du Tiki au Cinéma des Familles, du kiosque aux expositions, et vous annonce le programme, entrecoupé de mots doux de festivaliers ou d’anecdotes sur l’histoire du festival.
Ouvrez-bien vos oreilles, il peut aussi vous avertir des changements de programme !


Accessibilité Sourds et Malentendants</center

Le festival a pour volonté d’ouvrir ses salles de cinéma et un maximum de sa programmation au public sourd et malentendant. La salle de cinéma de Port Lay 1 est équipée d’une boucle magnétique prêtée par Lorient Agglomération. Les malentendants appareillés peuvent donc assister, sans problème de compréhension auditive, aux projections en salle.


L’ILE DES ENFANTS

Rendez-vous incontournable pour les 4 à 12 ans, l’île des enfants, dans la cour de Port Lay, accueille les plus jeunes du jeudi au samedi de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
Des animateurs débordant d’imagination font vivre aux enfants leur propre festival avec des activités adaptées selon les âges : ateliers ludiques et créatifs, projections de films, découverte du site du festival...
Renseignements au kiosque (2 € la demi-journée / 4 € la journée)


EXPOSITIONS </center

En accès libre de 10h30 à 19h30
- Trois espaces d’exposition : au fort du Gripp, à Port Lay et à Port Tudy -

Le vernissage des expositions se fera cette année sous forme de balade pour découvrir les trois sites d’exposition.
Aujourd’hui : rendez-vous à 10h30 devant le Pub de la Jetée à Port Tudy.

La visite se terminera à Port Lay par un pot lors duquel vous pourrez échanger avec les exposants.

Atelier FàBRiKa - Revelar Chiloé


Emulsions photographiques et installations Archipel de Chiloé
Commencé en 2017, le projet Revelar Chiloé résulte d’une recherche sur l’identité chilote et utilise un mélange de procédés photographiques découverts au 19e siècle pour exprimer et enregistrer les modes de vie d’un territoire en constante mutation.
Après avoir parcouru l’archipel en voilier pendant plusieurs semaines, les artistes de FàBRiKa exposent au Fifig une installation photographique et vidéo avec trente-trois oeuvres, en immersion totale dans les îles et la culture chilote.

Pedro Lépez Aguilar - Caguach


Photographies
Île chilote de Caguach
Caguach, l’une des plus petites îles du grand archipel de Chiloé. Il faut quatre heures du port de Castro pour rejoindre ce caillou d’une superficie de 10 km2 habité par cinq-cent-quinze habitants. Caguach signifie « l’île avec la plage de sable fin » en langue Chonos, peuple originel de l’île rejoint au 17e siècle par les Mapuches Huilliches. Convertis au christianisme dès le siècle suivant, ses habitants célèbrent depuis 1778 l’une des traditions religieuses les plus importantes du sud du Chili, la procession en faveur de Jesus Nazareno de Caguach, protecteur des Chilotes.
Au-delà de la religiosité de l’événement, ces photographies cherchent à témoigner de la place qu’occupe cette cérémonie dans les traditions, les moeurs et les habitudes des insulaires de Caguach.
Retrouvez cette exposition en plein air, sur la digue du phare vert à Port Tudy !

Agathe Marin - Cartas


Affiches illustrées, imprimées à la main en sérigraphie ou en cyanotype
Chiloé et mer du Chili
Codas, ce sont des cartographies illustrées du Chili, ce pays-île du bout du monde qui tourne étrangement le dos à la mer. Cartographies imaginaires, réinventées, où le nord est mis de côté, où la mer devient le lieu habité... Et c’est au dos de cartes postales, là où, en quelques bribes, on tente de raconter le réel, que l’on trouve les légendes de ces géographies poétiques. Agathe Marin a vécu par intermittence à Valparaiso de 2005 à 2016 et s’est rendue sept fois dans l’archipel de Chiloé, avant de poser ses sacs à Groix en 2017.

Vendredi 23 août à 15h - Espace expositions de Port Lay En parallèle de son exposition et dans le cadre des siestes radiophoniques proposées par Radio Balises, vous pourrez écouter ses cartes postales sonores réalisées lors de son dernier voyage dans l’archipel en 2019.
Samedi 24 août à 11h30, Agathe vous présentera son livre Luz à la librairie du festival !

Daniel Casado - Infamia


Photographies Archipel de Chiloé
Daniel Casado mène depuis huit ans, un travail photographique sur les élevages de saumons industriels de Patagonie. Dans sa série « Infamia », il expose la crise environnementale et sociale qu’a connue l’archipel de Chiloé en 2016, lorsque des milliers de tonnes de saumons morts et décomposés ont été rejetés à la mer, générant un désastre écologique sans précédent.
Son travail fait écho à la séance de cinéma sur la crise de la pêche intensive à Chiloé lors de laquelle il présentera son film Estado Salmonero.

Thomas de la Pinta - Îlots imaginaires


Gravures Onirisme
Artiste aux multiples facettes (graveur, peintre, illustrateur), Thomas de la Pinta présente une partie de ses gravures à l’eau-forte sur le thème des îles oniriques. Porté par un imaginaire s’inspirant de la bande dessinée ou du dessin animé, il fera rêver petits et grands...

Luca Solari - La Forteresse


Photographies
Île néerlandaise de Schiermonnikoog
Le photographe Luca Solari se rend pour la première fois sur l’île de Schiermonnikoog, tout au nord des Pays-Bas, en 2009. Il y retourne pendant neuf ans, chaque hiver, rencontre les habitants et s’intègre à la vie de l’île.

« L’île est ceinturée par des dunes de sable. Soumise aux vents et aux marées, elle résiste depuis la nuit des temps. Un peu comme une forteresse. Les gens y viennent pour se construire et se renforcer, c’est un lieu de paix », explique Luca Solari.
Des centaines de clichés plus tard, un livre de photographies de 386 pages voit le jour, articulé autour de sept thèmes.

Jeudi 22 août à 17h30, Luca Solari vous présentera son livre La Forteresse à la librairie du festival !

Nathalie Pitel - Ondes


Sculptures en métal
Mers du monde

« Cette série de sculptures est infinie tout comme le mouvement de la mer. L’idée est d’arrêter la vague dans un instant T, peut-être avant l’impact, avant sa violence. Tenter de figer le fer dans une matière liquide. Il y a la violence de la nature et la beauté de la forme. L’acier garde une force par nature ; une fois mis à nu, il devient bijou et élégance ».


ILS NOUS ACCOMPAGNENT...

SOS MEDITERRANEE - TogetherForRescue
Déjà venue au festival en 2016 et 2018, l’association SOS Méditerranée sera de nouveau au Fifig en 2019, avec un stand d’information et des outils de sensibilisation pour les enfants. Depuis janvier, vous pouvez également rejoindre l’antenne qui vient de voir le jour à Lorient.

Créé en 2015, dans un élan de la société civile européenne mobilisée face à l’urgence humanitaire en Méditerranée, SOS Méditerranée poursuit des missions en mer et à terre, avec trois objectifs : porter assistance aux personnes en détresse en mer, assurer la protection des rescapés jusqu’à leur arrivée dans un port sûr et témoigner.
Après avoir affrété l’Aquarius, bateau de 77 mètres qui a fait plusieurs campagnes en Méditerranée entre février 2016 et décembre 2018, SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières ont été contraints de mettre fin à son affrètement suite aux attaques continues dont le navire était l’objet.
Malgré l’environnement hostile ciblant les associations travaillent en mer, SOS Méditerranée se prépare à reprendre les opérations de recherche et de sauvetage avec un nouveau navire.
www.sosmediterranee.fr

AMNESTY INTERNATIONAL
L’organisation Amnesty International est présente au festival depuis l’édition de 2007 dédiée à Cuba, lors de laquelle elle avait été invitée à dénoncer et témoigner des actes de torture perpétrés dans la prison de Guantanamo.

Depuis, Amnesty nous accompagne chaque année avec un stand d’information et de sensibilisation et beaucoup de leurs combats rejoignent les thématiques abordées dans nos documentaires.

La vision d’Amnesty est celle d’un monde où chacun peut se prévaloir de tous les droits énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 et dans les autres textes internationaux relatifs aux droits humains. L’association se donne pour mission de mener des recherches et des actions visant à prévenir et faire cesser les atteintes graves à l’ensemble de ces droits : oppression, torture, violence, discrimination...

Née en 1961, l’association rassemble aujourd’hui plus de sept millions de personnes dans soixante-dix pays et se revendique indépendante de tout gouvernement, de toute tendance politique, de toute puissance économique et de tout groupement religieux.
www.amnesty.fr

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