FIFIG : 17e édition !!
2 commentairesEn route pour les Petites Antilles
Du mercredi 23 au dimanche 27 août 2017
https://www.youtube.com/watch?v=qytCH7VyY90
Une programmation dédiée au cinéma des Petites Antilles, tous genres confondus. Pendant toute la durée du Festival, regroupés par thématiques et parfois liés à des problématiques d’autres îles du monde, ces films représenteront près de la moitié de la programmation de l’édition.
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# Le 4 juillet 2017 à 18:11, par Anita
Le Monde Magazine
Créé en 2001 par le grand repoerter Jean-Luc Blain et quelques Groisillons passionnés, le festival transforme chaque été le petit caillou breton d’à peine quinze kilomètres carrés en repaire du film insulaire.
Après les scandinaves, les Philippines, les Îles grecques et l’Irlande, cap cete année sur l’archipel des Petites Antilles. Comment vit-on entre la mer des Caraïbes et l’océan Atlantique ? Francophones, anglophones, hispanophones ou néerlandophones, les Iles du Vent et les Iles Sous-le-Vent sont les invitées d’honneur de cette 17ème édition. Des tables rondes se saisiront de sujets aussi sensibles et variés que la situation de la Guadeloupe depuis la crise de 2009 et les Îles où cohabitent deux nationalités.
Côté compétition, une douzaine de films documentaires questionneront l’insularité, les problèmes quotidiens qu’elle soulève ou les rêves qu’elle fait naÎtre.
C’est dans le plus petit port de l’ïle, Port Lay, que le festival jettera son ancre au son de l’instrument national de Trinité-et-Tobago, le steel-drum.
MD
Dans les locaux de Port Lay et au Cinéma des familles. 6 € la séance
# Le 9 juillet 2017 à 12:17, par Anita
L’affiche 2017 nous vient de Trinidad et Tobago !
Brianna Mc Cathy vit et travaille à Port-of-Spain, à Trinidad et Tobago. Son travail s’intègre dans une dynamique de compréhension du corps des femmes Afro-carribéennes. Grâce à divers matériaux – crayon, encre, papier, cuir - et techniques - collage, dessin, illustration, peinture -, elle représente ces femmes avec force, puissance et résistance malgré le contexte de pauvreté et de difficultés sociales qu’elles vivent dans la plupart des Îles des Caraïbes. Dans ses dernières expositions (Vétiver Night Women, Anima/us Botanica), elle affiche sa maÎtrise de la représentation du corps noir antillais, constitué de racines africaines, indiennes et européennes et défend les principes de créolité, d’antillanité et de négritude. Ses représentations se veulent engagées contre tous les stéréotypes concernant le corps noir.
Un lien vers son site : Brianna Mc Carthy