Dans Ouest-France, une tendresse,
2 commentaires... un soldat allemand prénommé Adolf, qui sur l’ile de Groix en Bretagne, sergent et mécanicien de l’armée d’occupation tomba amoureux de Denise, avec qui il aida des prisonniers américains et qu’il épousa après guerre. Il revint à Groix où il ouvrit un garage, garage Adolphe, tout le monde l’aimait, les marins et les gosses l’appelaient "peupé Adolphe", il avait francisé son nom
Claude Askolovitch. La revue de presse france inter 05 06 24
Vos commentaires
# Le 7 juin à 22:22, par SteFou
Souvenir de ma petite dizaine d’année et sous le regard rude du patenel,suite a un souci thechnique il fallait réparer et refaire un pas de vis.. : Vas demander a Adolphe un Filon... ???
Du haut de sa stature bienveillante et d’accent allemand, du vieux tirroir en bois, l’outil magique est sorti avec en prime son histoire quand il etait lui meme apprenti mecano..
Ceci crée du lien . Pas de vis et pas de vie.
# Le 8 juin à 13:05, par Torcheur
Aïku de clé (allemande ?)
Un préparateur de l’Europe et du programme Erasmus ?
Honneur aux humanistes !!! (rares, mais opiniatres)
Torcheur