Commémoration.
3 commentaires
La célébration du poète groisillon Yann-Ber Calloc’h fera date. Thierry Bihan a été le maître de cérémonie de l’événement. (Ouest-France 10/4/17)
Un peu d’histoire Bleimorienne
"Pour Dieu, pour la Bretagne, pour le Roi."
La vie de Jean-Pierre Calloc’h s’inscrit brillamment dans la longue épopée pour la restauration de la monarchie française supprimée par la révolution.
La loi du 3 juillet 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État est adoptée par 359 voix contre 134. La Bretagne la refuse par 30 voix contre 11 et 2 abstentions.
"Naturellement la République Une et Indivisible refuse de tenir compte de l’opinion manifestée par les représentants élus des Bretons et elle impose à ceux-ci sa dictature."
Corentin Denis est venu présenter une conférence sans doute laudative. Ce conférencier n’est autre que Korentin Falc’hun, un ancien du GUD des années 1990, réalisateur du documentaire Léon Degrelle, la führer de vivre.
Fillon et ses supporters doivent être satisfaits de toutes ces bondieuseries. Le spectre de la suppression de l’enveloppe insulaire de 500.000 € va peut-être s’éloigner car comme l’a dit le maire "ce qu’a fait une loi, une autre peut le défaire" et il vaut mieux caresser dans le sens du poil celui qui est décidé à supprimer 500.000 postes de fonctionnaires, prioritairement dans la fonction publique territoriale !
Le centenaire arrive à point pour démontrer que Groix est toujours bien pensante* :-(
Discours du maire respectueux de la laïcité :
http://www.breizh-info.com/2017/04/09/66874/groix-maire-dominique-yvon-rend-hommage-a-yann-ber-calloch
Vos commentaires
# Le 11 avril 2017 à 09:28, par Anita
http://www.breizh-info.com/2017/04/10/66877/10-avril-1917-yann-ber-calloch-quitte-patrie-terrestre-patrie-celeste
Merci à un ami fidèle et ... attentif.
# Le 11 avril 2017 à 09:46, par Anita
Il est d’autant plus étonnant de le retrouver sur breizh-info.com, site très éloigné des obligations républicaines !
AM
# Le 16 avril 2017 à 20:29, par Anita
La chanson de Craonne a retenti, dimanche 16 avril, sur le Chemin des Dame ; l’’importance de la chanter pour les cent ans de l’affrontement.
"C’est à Craonne, sur le plateau, qu’on doit laisser sa peau, car nous sommes tous condamnés, c’est nous les sacrifiés !"
Cette chanson était déjà chantée, légèrement différente, en 1914, JP Calloch la connaissait-il ?
par Marc Ogeret : https://www.youtube.com/watch?v=_-HKjtJfWE8