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ça ne vaut pas un boycott ???
la Société générale à travers le réseau Rosbank est au cœur de l’économie poutinienne : elle a pris part l’an dernier à un prêt de 1,2 milliard d’euros au géant minier Uralkali et financé les projets urbanistiques de la ville de Moscou à hauteur de 850 millions d’euros. Ce qui place la Société générale dans une situation difficilement défendable devant les opinions publiques occidentales. Depuis l’attaque de l’Ukraine, l’action de la Société générale a perdu plus de 20 % de sa valeur.
AS Lechevallier et J Lefilliâtre Libération 25 mars 2022