Bibliothèques et transition écologique
Publié le 11 juin à 13:17Certaines aides sont cumulables avec la dotation générale de décentralisation (DGD) versée aux collectivités et peuvent aider à financer des projets de transition écologique au sein des bibliothèques. La dotation de soutien à l’investissement local (DSIL) par exemple « permet de financer les grandes priorités d’investissement des communes ou de leurs groupements. La loi fixe six grandes priorités thématiques éligibles à un financement, parmi lesquelles « la rénovation thermique, la transition énergétique, le développement des énergies renouvelables »
Autre source de financement : le Fonds vert. En effet, « 14 aides sont proposées et plusieurs peuvent concerner des dépenses engagées par les collectivités pour leurs bibliothèques : la rénovation énergétique des bâtiments ou encore la renaturation des villes et des villages ».
D’autres fonds pilotés par l’Ademe peuvent aussi concerner les bibliothèques comme « le fonds Chaleur renouvelable, qui permet de développer les installations de production de chaleur et les réseaux de chaleur dans les collectivités, le fonds Économie circulaire, qui soutient la mise en œuvre de la politique déchets et l’investissement dans des installations de tri, de recyclage et de valorisation. »
Une mise à jour régulière des financements ouverts pour la transition écologique des structures culturelles est assurée par le ministère de la Culture.
Maire Info 11 06 24
Commentaires :
11 juin, 13:20, par Anita
Avec tous ces petits sous disponibles, on devrait pouvoir réparer la porte de notre médiathèque non ?
et peut-être même installer des panneaux photovoltaïques ???
12 juin, 08:13, par Olivier Le Rameau
...Et installer des composteurs communs, comme formulé hier soir, au conseil municipal. Les "brouetteurs" de Locmaria ne demandant finalement que l’utilisation d’un bout de terrain communal (qui existe déjà) à Pokado.
Demande argumentée et pilotée par la jeune association "Le Caillou Fertile", renvoyée aux limbes avec les arguments massue : celui de la prolifération de rongeurs et celle esthétiquement plus pernicieuse, d’installations dans tous les villages de Groix.
« Moi, quand, dans mon terrain de 2000m², je tonds la pelouse, je laisse les tontes sur place » ... Tout le monde n’a pas la chance, M. Le Maire, d’avoir autant d’espace, surtout à Locmaria.
Quand on voit l’état des poubelles enterrées les fins de week-end de mai ( « que même des "gens" de Kerlard viennent remplir » ) et de leur environnement immédiat, on a juste envie de pleurer de la colère provoquée par -à minima- l’inconscience du brave vacancier dont la générosité d’avoir dépensé son bel argent chez nous lui donne l’autorisation de saloper NOTRE environnement avec ses déchets. Et qui, au surcroit, ne trie pas mieux ses poubelles qu’un certain nombre de permanents. Voire s’en débarrasse sournoisement dans une poubelle de particulier qui vient juste d’être vidée par les gars du service d’enlèvement des poubelles, appréhendant, d’ores et déjà, l’arrivée de la période estivale et son lot de relents pestilentiels et de fragrances frelatées forts agréables dès potron-minet...