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Après le covoiturage, voici... le cobaturage
4 commentaires"Je me rends sur Groix ce soir et rentre demain après-midi. Le bateau se trouve sur le port de Lorient centre et je vous dépose à Port Tudy" : "Le cobaturage, c’est comme du covoiturage dans le sens où il y a un partage des frais", explique Aurélian Petit, 32 ans, à l’origine du site cobaturage.fr lancé en 2015.
S. Ferrer La Voix du Nord 05/09/17
Vos commentaires
# Le 6 septembre 2017 à 22:10, par Claude Huchet
Bonsoir,
Je clique sur le premier lien venu et je trouve ça
http://www.cobaturage.bzh/annonce-261
On va de Concarneau à Concarneau, cherchez l’erreur !
Si l’idée de base est courageuse et un brin utopique, l’utilisation qui en est faite énerve sérieusement les professionnels qui payent impôts et assurances pour proposer le même type de prestation et chercher à en vivre.
Il y a, parmi ces marins, un bon nombre de gars qui ont perdu leur emploi (offshore LDA, CETRA etc...) et cherchent à utiliser leurs compétences pour se lancer et faire vivre leurs familles.
C’est quotidiennement qu’ils me racontent en avoir assez de ces concurrents qui ne font que demander à "partager les frais"
Je serais tenté de rajouter : et mon c-l c’est du poulet ??
Claude Huchet
# Le 7 septembre 2017 à 06:16, par Anita
bof ... certains de ces "professionnels" doivent bien être "autoentrepreneurs" et font aussi de la concurrence aux vrais !
En attendant l’uberisation des transports maritimes !!!
Pour moi, ça commence avec l’autorisation donnée à des privés de concurrencer le service public en été, ce qui conduit, par la baisse du CA de celui-ci, à la diminution du nombre de rotations l’hiver.
C’est ça le progrès cher ami, et on n’a pas fini d’en subir les conséquences
AM
# Le 7 septembre 2017 à 07:29, par Anita
cadeau pour Claude : https://blog.samboat.fr/2017/09/06/tour-ile-groix-bateau/
en plus, il ose appeler Poulziorec Tahiti Beach... shame !
AM
# Le 7 septembre 2017 à 09:44, par claude Huchet
Il faut croire que les marins pro au chômage qui se lancent dans ce type d’activité sont trop bêtes.
Ils commencent par une visite aux affaires maritimes et c’est parti : ouverture d’un rôle d’équipage, visite et contrôle des titres de sécurité du navire, visites médicales des marins, contrôle des brevets et diplômes : brevet de capitaine BAERS, CAERS, spécialiste du feu, module médical, module transport de passagers, module gestion de crise et j’en passe.
Et rien de tout ça pour la concurrence.
Quant au reste Anita, ce sont de vieux débats toujours d’actualité hélas !