Les professionnels du tourisme se frottent les mains. Les touristes aussi. Si possible, avec du gel hydroalcoolique, car l’enjeu sanitaire va consister à gérer une promiscuité plus forte, notamment près des embarcadères, où le brassage est inévitable. Philippe Le Bérigot : "Ce qui est important, c’est que nous puissions avoir des visiteurs responsables, conscients de la nécessité de respecter les gestes barrières."
Ouest-France 09/07/21
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