Accueil > ARTS, CULTURE & SPECTACLES > AU SECOURS, J’AI 30 ANS

AU SECOURS, J’AI 30 ANS

mardi 1er juin 2004, par Admin

KATHY, TARA et YANN ont passé toute leur enfance ensemble dans l’île de Groix. A 18 ans, ils débarquent à Paris pour tenter leur chance, se jurant de ne jamais se quitter et de toujours se serrer les coudes. Douze ans plus tard, le bilan est mitigé.

Si YANN, lui, est heureux en ménage avec ALFREDO et s’éclate dans son boulot d’attaché de presse, les deux filles, elles, ont des vies sentimentales désastreuses.
Peu sûre d’elle et complexée, TARA se dévoue entièrement à son THOMAS, petit prof égocentrique et mesquin, et compense ses frustrations amoureuses, maternelles et professionnelles par une boulimie incontrôlable. Quant à la belle KATHY, elle vit seule, tenant les hommes à distance, dont ROMAIN, fasciné par son humour acide.

L’insouciance ironique de leur petite vie est soudain bouleversée lorsque YANN apprend qu’il est atteint d’un cancer.

Prenant conscience de la fragilité de l’existence, YANN va obliger TARA et KATHY à tenir la promesse de toujours s’entraider : TARA doit larguer son infect THOMAS pour s’épanouir (et maigrir !) et KATHY doit enfin se laisser aller à aimer un homme.

Fiche Artistique
Pierre PALMADE : Yann
Giovanna MEZZOGIORNO : Kathy
Nathalie CORRE : Tara
François MOREL : Thomas
Marthe VILLALONGA
Arnaud GIOVANINETTI : Romain
Franck DUBOSC

Sortie en salles le 30 Juin 2004

 Voir la Bande Annonce

 http://www.commeaucinema.com/mcm/news.php3?newsid=21417&cinenews=1

Commentaires

  • Dommage ?
    "Nous avons tourné quarante jours, le planning était chargé. L’ambiance était excellente même si nous avons commencé par le pire. On aurait voulu tourner à Groix, mais cela revenait trop cher, alors, nous avons cherché ailleurs. Il nous fallait une grande plage déserte avec un phare, un café dans son jus. Nous avons trouvé du côté de Saint-Brieuc."
    V. entretien avec la réalisatrice, M.A. Chazel sur le site de "Comme au cinéma"...

    Yann Stéphant

    • """On aurait voulu tourner à Groix, mais cela revenait trop cher, alors, nous avons cherché ailleurs. """

      Yann, tu m’as coupé l’herbe sous le pied.
      J’avais cet interwiev sous le coude mais.. le temps a passé :))

      Tu te rends compte, si ceux qui décident des prix à Groix avaient fait des efforts, nos jeunes
      apprentis cinéastes "d’Iles tournent" auraient peut-être pu se faire les dents sur un "grand" film et d’autres (?) auraient pu prendre des
      contacts.

      A. Ménard