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SUR LE PORT
samedi 15 avril 2006, par
De Ghislain Hammer
Bientôt nous partirons dans l’un de ces naviresEt nous serons si bien à parcourir la mer,Le coeur se balancant à l’encontre de l’airQui nous viendra de go de tous les grands empires.Ne sommes-nous au port que pour notre égoïsmeFace à cet horizon si proche et si lointain ?Ne le regardons-nous que pour croire au bon vin,Ce vieux corps étendu sous un ciel sans charisme ?Ne paraissons ici qu’une femme et qu’un hommeAssis sur un vieux mat ensablé par le tempsA regarder l’action du splendide océanQue pour livrer notre oeil à lui qui nous assome.Nous le voulons léger, nous la voulons légère,Cet amour qui rend fou, cette vie qui sourit,Que nous aurons bientôt, après avoir conquitNotre rêve d ’un jour ou de la nuit dernière.
Ghislain Hammer
PS : Visitez mon blog si vous le désirez,
http://planetarium.over-blog.com
Commentaires
1. SUR LE PORT, 6 octobre 2006, 18:08
Un nouveau jour se réveille,
Sur cette île qui encore sommeille,
Ce matin, les vagues et les flots,
Surpassent une fois de plus mes mots,
Ce temps changeant, et tous ces nuages,
Bleus, gris verts, encore un temps à l’orage,
Vers midi, une petite bruine se dépose sur les carreaux,
Après locmaria, on vient rêver devant le port et son eau,
Le vent nous balaye le visage, encore et encore,
A elle seule, cette journée vaut de l’or,
Et demain les grands sables en passant par port tudy,
Seront le rendez-vous de ma vie...
emilie bouquet
1. SUR LE PORT, title="2006-10-06T16:44:48Z">6 octobre 2006, 18:44
Encore de la poésie... et c’est tant mieux
Merci
Henri Ménard - Groix
2. SUR LE PORT, title="2006-10-06T16:45:49Z">6 octobre 2006, 18:45
Encore de la poésie... et c’est tant mieux
Merci
Henri Ménard - Groix
3. SUR LE PORT, title="2006-10-06T19:02:54Z">6 octobre 2006, 21:02
tu te repetes l ancien vas falloir aller tirer tes economies a la caisse d epargne
et acheter des pilulles :) :) :)
jplsk8
4. SUR LE PORT, title="2006-10-06T20:56:58Z">6 octobre 2006, 22:56
aujourd’hui,sur le port
Les deux caméras dehors
Nous fliquent comme d’habitude
Sans rancune ni amertume
Sans réactions des grandes goules
Qui préferent regarder la houle
Et se mettrent la tete dans la boule