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Soirée Renavis chez Soaz

dimanche 18 décembre 2005, par Admin

Il est plus de minuit et il est encore difficile de se faire une place
dans le bar plein comme un oeuf (le bar, j’ai dit !!)

 voir l’annonce du concert et ses commentaires

Photos ile-de-groix.info

Photos Nicole Mathieu

Commentaires

  • Perdu de vue :

    Madame, messieurs,

    L’examen attentif des photographies de la soirée des « renégats » chez Soaz, m’a permis de reconnaître en la personne du maître chanteur, debout, face au pupitre, la physionomie d’un insulaire de passage en montagnes alpines au cours du dernier millénaire (triste sire).

    Cet aventurier sans vergogne, à qui j’avais prêté, bien imprudemment, une paire de faucilles à récolter les « Eiders hauts savoyards », s’est discrètement éclipsé de la station hivernale en oubliant de me les rendre.

    Si vous pouviez lui rafraîchir la mémoire de ma part et lui demander de me les envoyer « poste restante » et « toutes affaires cessantes » vous bénéficieriez de ma gratitude proche helvétique.

    Voici mes noms et adresses : J. C. Vanony, poste restante, Megève, Septante quatre, Haute Savoie.

    P.S. : Dîtes bien à ce J--- J------, qu’il peut, aussi sec, me rembourser les 27 litres de « fendant » qu’il me doit depuis.

    Le Nordlégien-allemand (en culottes de cuir).

    • Nous avons bien sûr pris votre message au deuxième degré.
      Mais nous espérons fortement ne pas avoir préjugé de votre humour :))
      AM

    • Second degré ?

      Sans confirmation de ce second degré... pfuitt... message effacé

      Henri Ménard - Groix

    • Ja-Ja demande une identification
      plus précise du Nordlagien en culotte courte
      j-c

    • Chers 3M,

      En fait, quel embarrassement, c’est du 3ème degré, je suis scotché !!!

      L’intéressé devrait comprendre.

      Faites comme bon vous semble, vous êtes le phénix des hôtes de ce net.

      Le faucheur de "trois cent nonante cinq canards", les pattes prises dans la glace.

    • Je ne peux lire plus et mieux que ce que le peut JJ :
      ""Voici mes noms et adresses : J. C. Vanony, poste restante, Megève, Septante quatre, Haute Savoie.""
      AM

    • Réponse au Jaja, pratiquant du FIFFIG

      Salut vieille planche (à voile) du Stenal,

      nous avons goût des canots et de la mer communs,

      Mes pas m’ont souvent porté vers les montagnes dont je suis amateur généraliste, tout comme toi, le Grahaut de Quehello, la Savoie où tu plantas des pieux, le Kra de Locmaria.

      Qui suis-je ?

      Quand au "fendant", aujourd’hui il nous donnerait des aigreurs d’estomac, bien inférieur au "Cordon d’Or" de Marie Hélène.

      Gardes donc les faucilles, qu’elles ne coupent pas notre vieille amitié, tans pis pour la récolte des "Eiders" du vosgien Vanony.

      Mais au fait connais-tu ce vieux sketch ?

      Le faucheur de "Prehoc’h".

    • Pepette te demande qui tu es .... le nordlégien allemand !!! ça me rappelle quelqu’un

      é pis d’abord t’es le fils à qui ?.. tu vas ou en montagne ?... t’as une place à l’année ? ... A megève on te connait pas ! Par contre JAJA on le connait bien !

      j’habite pas loin de la poste alors passe boire un coup quand tu vas chercher ton courrier......poste restante !!!!!

      A bientôt....

    • Fondue au fromage :

      Chère pépette megêvoise, vivant près de la poste,

      De montagnes je connaît surtout celles d’océans d’eau,

      Tu me reconnaîtras sûrement grâce au tatouage,

      Petite marque bleue dans un endroit peu sage,

      Qui, au mieux de ma forme, en lettres majuscules,

      Révèle au public cette phrase gravée à l’opercule :

      « SOUVENIR DE TRENTE SIX MOIS DE « PERSUASION » DANS LES AURES, AU SEIN DU COMMANDO MONTFORT DE LA ½ BRIGADE DE FUSILLERS MARINS. »

      Je porte à l’oreille ces signes distinctifs : à gauche une faucille, à droite un marteau.

      Mes cheveux coupés courts en brosse furent jadis blonds.

      Sur l’oeil un bandeau, hommage aux marins pirates d’antan.

      Ma culotte de « Nordlégien allemand » jadis en cuir à présent en Latex (on s’adapte).

      Si un beau jour nos routes se croisent, ne me refuse pas comme le ferait une « EX »,

      Co-soiffeur de Jaja, groisillon montagnard, à présent de Port-Lay, cinéaste sur le tard.

      Le « sako » sarcastique.