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L’Ile vue d’en haut : "Bouchons du pays de l’Orient"
dimanche 2 septembre 2007, par
Il ne fallait pas rater l’occasion de faire quelques photos depuis l’hélicoptère de la société Paralbatros
Nous distillerons lentement ces clichés :)
L’équipe de bénévoles des "Bouchons du pays de l’Orient" a gardé le sourire
malgré le rythme rapproché des envols (les huit ou dix minutes annoncées dans la presse
se sont transformées en six à cause de l’affluence vraisemblablement) et l’inévitable grapilleuse les bassinant pour passer avant son tour.
Commentaires
1. L’Ile vue d’en haut, 2 septembre 2007, 23:42
Toute ma vie j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air...
Arrivée au septième ciel, Dame Anita devin Marquise des anges.
Fou...
2. L’Ile vue d’en haut, 3 septembre 2007, 02:15
vous voyez l’auberge rouge ?
:)
TM
1. L’Ile vue d’en haut, title="2007-09-03T09:53:57Z">3 septembre 2007, 11:53
Pour voire l’ Auberge Rouge, il aurait fallu qu’elle regarde en bas.
Son regard est dans la direction du Bon Dieu.
Aucune inquiétude perceptible, vu le sourire.
A.Y.
3. L’Ile vue d’en haut, 3 septembre 2007, 20:31
Magnifique l’ile de la haut, fallait pas rater l’ocase c’est sur, et n’en déplaise aux empêcheurs de voler en rond mais ce baptéme de l’air fallait le faire. A quand la prochaine fois ? Olive et toute la famillle
1. L’Ile vue d’en haut, title="2007-09-07T09:50:03Z">7 septembre 2007, 11:50, par Pennedu
Allons donc Anita,
Tu n’as donc pu rester ci-bas !
Telle la blanche colombe
Tu as pris ton envol.
Dans cet oiseau à l’hélice déchainée
A coeur joie tu t’en es donnée.
As tu vu Fou de Bassan
Au regard bleu si persan ?
Ou la mouette rieuse
Que l’on dit un peu moqueuse ?
Peut-être la belle Demoiselle
Dans les algues y faire la causette ?
Ou la sole si plate
Se cacher dans le sable ?
Un petit banc de crevettes
Partir droit dans l’épuisette ?
En tous cas, l’alouette n’a point été plumée,
Par quelque mécréant qui sur la convoitait !
Durant quelques instants, tu t’es libérée.
De façon certaine tu n’as pu qu’aimer,
Avec ses courreaux bleus
Et ses plages dorées.
Voir ton ile chérie du haut de ses cieux.
Ne dis plus que tu es fatiguée,
Car jeunesse vieillie
Mais vieillesse rajeunie.
Pennedu